Ma voisine, ma putain (Partie 2)
(suite)…Je sentais comme un vibrement dans le bras de sa main qui tenait mon sexe, elle devint aussitôt toute rouge et grelottait presque… Sa main droite n’ arrivait pas à contenir toute ma bite donc elle ramena sa main gauche qui lui servait à caresser sa chatte. Cette dernière etait déja toute humide et couverte de son jus, elle sen servait donc pour me masturber… Je sentais l’ odeur agréable de son sexe. Elle commençait à aimer tout ceci et eu donc le courage d’ essayer de mettre ma bite dans la bouche… Mais hélas, seule la tête pouvait entrer, je la prise alors par les cheuveux et j’ accélérai, ses yeux devenaient rouges, j’ allais de plus en plus vite, sa salive mélangée à mon sperme débordait en grande quantité de sa bouche et coulait le long de son menton jusqu’ à ses seins. Elle se relachait peu à peu et pour jouer sa coquine elle faisait un bruit telle une cochonne. Brusquement, Je l’ ai soulevé et l’ ai jeté dans le canapécanapé derrière elle, elle eu peur à l’ instant mais se détendit aussitôt. Elle écarta son slip totallement mouillé et je découvris sa belle chatte rose rasée très humide. Je mis donc ma tête entre ses jambes et je plongeai ma langue chaude sur son clitoris rouge endurci, toute sa hanche vibra aussitôt et elle déversa une énorme quantité de cyprine dans ma face]
– Oh désolée, excuse-moi s’ il te plait, je suis vraiment désolée… [Elle se cachait le visage avec ses deux mains, je ne fis pas attention à cela car j’ avais aimé, je continuais donc. J’ enfonça encore plus ma langue dans sa chatte pour goûter aux délices de Mme A. que je peux appeler Claire maintenant vu le rapport qui venait de s’ établir entre nous. Sa chatte était très délicieuse, plus décicieuse que ces collégiennes et étudiantes que j’ avais l’ habitude de lécher… et Mon sexe devenait très dure et grand à un point que moi même je n’ avais jamais vu au paravant, je n’ était plus excité, j’ étais juste devenu fou; Je poussais des rugissements tel un animal sauvage blessé. J’ attrapais ses seins et je les pressais fort, si fort qu’ elle eu un peu mal et voulu retirer mes mains. Énervé, j’ ai arraché son débardeur qui s’ est déchiré sur le coup, et pour la première fois je vis les jolies gros seins de Claire ma voisine, la femme de Phillemon et ma nouvelle putain. Je remontai donc un peu plus haut pour m’ occuper de ses deux mgnifiques grosses jumelles juteuses. Mon visage et surtout ma bouche étaient complètement couverts du liquide vaginale de ma partenaire qu’ on ne pouvait distinguer de ma propre transpiration. Très excitée car me serrant contre elle, Claire était quand même inquiète vu l’ état dans lequel je venais de rentrer. J’ étais allongé sur elle et je lui suçais les seins avec passion; je la mordu légèrement fort et elle poussa un cri. Elle voulait me demander de faire doucement avec elle mais je lui ai pris violemment la tête puis je lui ai craché dans la bouche puis je l’ ai embrassé, je lui enfonçais ma langue dans la bouche pendant que je serrais son cou. Elle n’ était plus qu’ en slip et avait l’ air complètement fatiguée. Elle voulait me supplier une seconde fois lorsque je lui ai craché dans le visage puis le lui ai fait lécher. Je lui retirai son slip précipitamment, ce slip si mouillée qui ne lui servait plus à rien et je le déchirai ainsi que sa jupe. J’ écarta ses jambes à un angle de 180 degré, ce ne fut pas difficile vu qu’ elle est une sportive. J’ apperçu alors encore de petites goûtes de liquide qui coulaient encore le long de sa chatte jusqu’ à ses fesses. Le fait de voir ma voisine que je respectais si poliment il y avait encore quelques minutes, complètement nue, en sueur, presqu’ en larme les jambes complètement écartées et le corps couvert de traces de mes mains me rendit fier de moi et ressortit mon côté sauvage encore plus; je la voyais comme un pauvre agneau perdu face à un loup. Je pris donc mon gros sexe, rouge, humides et couvert de dizaines de grosses veines, en main pour la pénétrer. Elle eu subitement peur et voulu essayer de rabattre ses jambes pour m’ en empêcher. Avec mes deux mains j’ attrapai ses jambes et les maintîns écartées puis je glissa tout doucement et difficilement ma bite dans ses entrailles. Nous eûmes mal tous deux car son trou était trop étroit. (À suivre)