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Club privé de nico75

Initiation SM de mon épouse
17 octobre 2024

J’ai appris à connaître les relations de soumission et de domination avec mon mari. Ces relations ont pris part dans ma vie après quelques années de mariage. Lors de longues discussions, nous avons découvert que nous avions des envies communes. Il s’est révélé très dominateur dans ses fantasmes et mois très soumise contrairement à ma vie active. Nous avons donc décidé de découvrir ces plaisirs très spéciaux. Au fil du temps il a su m’imposer des contraintes, des postures, des ordres concernant ma vie au sein du foyer, à l’extérieur ou dans nos rapports intimes. De femme mariée, je suis devenue sa chienne soumise, prête à tout pour combler ses moindres désirs. Mes tenues ont inévitablement changé, mais aussi mon comportement. Lui totalement en accord avec son nouveau statut de maître, ne se gênait plus pour m’asservir, m’humilier. L’humiliation était sa préférence, il aimait me voir dans cet état, à sa merci et à celles des autres. L’avilissement que je subissais était le moteur de nos fantasmes. Au fil du temps, j’ai appris à être docile, il jouait avec mon corps, mon esprit. Certains soir, des menottes m’emprisonnaient les poignets et les chevilles, un collier ornant mon coup et une laisse pendante sur mes reins. Mon éducation évoluant, ses désirs ont évolués bien sûr, toujours à la recherche de limites repoussées pour son plus grand plaisir. Cette soumission n’est pas constante dans notre vie. J’allie ma vie professionnelle, celle d’épouse et celle de soumise sans trop de contraintes. Je savais que pendant ses temps libres, il se connectait sur internet afin de recueillir des témoignages d’autres dominants et par la même occasion, ils échangeaient entre eux leurs expériences. Il me préparait à être humilier devant des inconnus. Un soir, un homme frappa à la porte. Selon ses vœux quelques heures plus tôt, j’avais pris mon apparence de soumise. Un homme grand se présenta à la porte. Il entra et mon mari, l’invitât à s’assoir sur le divan du salon. Je fus appelé à venir servir l’apéritif. Surprise mais aussi très inquiète de la suite, je me suis présenté à cet homme en bas résille porte jarretelles, string et soutien-gorges ; un collier de chienne auquel pendait une laisse. Sans dire mot, cet homme me regarda avec insistance comme pour s’assurer de ma position docile. Après quelques minutes, il me demanda :
« Tournes toi que je vois la marchandise ! »
Je sentais les regards de ces hommes qui par leur expression m’avilissaient déjà. Je compris, par leur conversation, qu’Alain avait donné à cet homme quelques détails sur mon éducation, mon physique, et s ma docilité. Puis l’homme en noir, me demandât :
« Tu aimes ta position de soumise ? »
« oui je l’aime Monsieur !»
Mon mari me renvoya dans la cuisine. J’attendis presque une heure avant que cet homme m’appelle. Alain et l’inconnu, toujours assis me regardaient avec des yeux pétillants d’excitation. Puis Alain me dit :
« Ton éducation a encore besoin de se parfaire pour que tu devienne une véritable soumise. Ce soir, Arnaud se fera un plaisir d’y apporter sa contribution. »
J’étais désormais à la merci de deux dominants, un que je connaissais tant dans ses envies que ses limites, un autre totalement inconnu à qui je ne devais opposer aucune résistance. Toujours debout, je du à nouveau me tourner. Des cliquetis de menottes se firent entendre et vinrent se refermer sur mes poignets. Monsieur était derrière moi. Il me pencha en avant, pour me regarder à nouveau sous tous les angles. Il dit pour seul commentaire :
« Elle est à mon goût ta salope et je sens que je vais bien m’amuser avec elle! »
Cette phrase me fit frissonner et il pu s’apercevoir de la crainte que je ressentais. Il me fit m’avancer vers la table,. Il écarta mes jambes. Je sentis un objet parcourir mes jambes, mes fesses, mon dos, et quand cet objet arriva au niveau de mon coup je pu voir qu’il s’agissait d’une cravache. La crainte m’envahit encore un peu plus. Il me mis un bâillon sur ma bouche, qu’il serra sur ma nuque. J’étais désormais mains liées avec un bâillon qui m’empêchait de protester au châtiment que j’allais subir. Un sentiment d’humiliation m’envahit à ce moment là, offerte au yeux qui ne se gênait plus pour parcourir mon corps avec ses doigts, s’arrêtant sur les zones les plus intimes. Il palpait mes seins, mes fesses, ma chatte qui malgré moi était trempée de cyprine. Je voyais les sourires approbateurs qui s’échangeaient entre les deux hommes.
« Elle mouille bien ta femme Alain ! »
Ses doigts se faisaient plus pressants sur mon intimité et je ne pus m’empêcher de gémir dans mon bâillon. Écartant mon string, il força mon sexe de deux doigts me pénétrant au plus profond de mon intimité avant de les ressortir et de les replonger à nouveau. Un cri étouffé par le bâillon se fit entendre, et la cravache ne se fit quant à elle pas attendre sur mes fesses.
« Tu n’a pas le droit de gémir ni même de soupirer salope ! »
Je devais serrer les dents et j’étais condamné à me concentrer sur le contrôle de mon plaisir. Toujours penché en avant, mes orifices étaient offert à sa vue. De longues secondes s’écoulèrent avant que ses doigts ne reviennent en moi. Un autre objet prenait par à cette séance pour se pointait à l’orée de mon œillet. Sans ménagement ce plug que je reconnu à sa forme glissa doucement mais sûrement en moi. Il y était calé, de taille honorable, au fond de mes entrailles, sans préparation préliminaire.
« Je désire que tu le garde un long moment en toi, que tu y prennes goût et que quand je l’enlèverai, tu me supplies de le laisser! »
Je ne répondis pas et sans avertissement la cravache me frappa à nouveau.
« Hoche la tête salope pour approuver ! »
Je hochais la tête entre douleur et plaisir en prenant un autre coup de cravache. Il me releva, toujours prise par cet objet que j’avais du mal à accepter en moi. Il m’ordonna :
« A genoux putain ! »
Il m’ôta mon bâillon qu’il remplaça par un foulard de soie qu’il posa sur mes yeux. Prostrée devant lui, je du l’implorer comme je le faisais pour mon mari :
« Je vous en supplie Monsieur de m’utiliser comme une chienne soumise ! »
I ls rirent de mon humiliation. Il s’approcha de moi, m’effleura le visage avec son sexe. Il posa son gland sur ma bouche qu’il me fit ouvrir de ses doigts pour y insérer cette verge encore molle mais d’une taille assez impressionnante. Je me mis à le sucer avec toute ma science. Il ne tarda pas à grossir et à combler cette bouche tant sollicitée par mon mari. Me prenant par les cheveux, il guidait les va et viens, pour imprimer la cadence qu’il souhaitait. Les lèvres déformées de ce sexe, je continuais à l’aspirer du mieux possible, je sentais ses veines se gonfler sous ma langue. Puis, il sorti de ma bouche et m’ordonna :
« A quatre pattes la chienne ! »
Là, il se lâcha sur mes dans le creux de mes reins. Ce liquide chaud, que j’apprécie tant, me souillait désormais. J’ai du rester dans cette position humiliante jusqu’à ce qu’il se rhabille et nous quitte.
« Remercie Arnaud de t’avoir fait l’honneur de s’occuper de toi Michèle ! »
« Merci Monsieur de m’avoir utiliser comme la chienne soumise que je suis ! »
Depuis le jour où j’avais rencontré Monsieur ARNAUD, je n’avais plus subis d’exhibition auprès d’autres personnes, jusqu’au soir, ou mon maître me fit m’apprêter d’une tenue très sexy. Il me fit porter des bottes à talons aiguilles très hauts, une jupe très courte, des bas noir, une guêpière noire très décolleté. Il m’ordonna :
« Met ton collier de chienne et ta laisse Michèle ! »
« Que me réserve tu chéri ? »
Tu verras bien c’est pas l’heure des questions ! »
Nous prîmes la voiture, et il me banda les yeux jusqu’au point de RDV. Au son de sa voix, je compris que c’était une jeune femme qui nous accueillait. Mon bandeau sur les yeux nous entrâmes dans ce lieu ou des voix masculines et féminines se mêlaient. Alain me fit m’asseoir sur un tabouret et enleva le bandeau. Je découvris un lieu, gorgé d’érotisme, de sensualité et sûrement de plaisirs charnels. Les femmes y dansaient pour certaines, les hommes les regardaient avec des yeux lubriques. On m’offrit un verre de téquila. Puis il me prit par la main et m’emmena au fond de cette immense salle, vers un escalier exigu descendant au sous sol. Jamais de ma vie je n’avais vu un tel spectacle, nous étions dans l’antre de la domination et de la soumission. On me dévisageait et l’angoisse s’empara de mon être. Des femmes, plus jolies les une que les autres se soumettaient à mon grand étonnement à de vieux bonhommes plus ou moins bedonnants. Leurs attitudes, leurs gestuelles, ne laissaient planer aucun doute, elles étaient toutes totalement soumises et offertes à ces Maîtres. Puis, Jetée dans cette arenne, nous dument défilés devant ces hommes. Les visages fermés de ces hommes augmentaient mes angoisses. Nous étions dans un marché aux esclaves. Ces inconnus nous évaluaient, en des termes crus et ordurier comme si nous étions des animaux sans conscience. Puis nous avons été chacune notre tour bâillonnées et les yeux bandés. Mon collier de cuir fut crocheté soudainement par une lanière, certainement une laisse qu’on tira pour me diriger vers une partie de la salle. Des mains, se posèrent sur mon corps, où était Alain? Ils ne parlaient pas et ne faisaient que de me tripoter. ne me parlait pas. On m’allongea sur une table froide et l’on m’attacha les poignets et les chevilles aux quatre coins. J’étais là, offerte à je ne sais qui, à je ne sais quoi. Des mains inconnus me déshabillèrent. Je me retrouvais nue, exposée aux regard de cette assemblée de pervers et pour le plus plaisir de mon mari et Maître.
« Elle est magnifique exposée votre soumise cher ami et de surcroits elle magnifique avec des courbe qui donne envie de malmener. »
J’aurais voulu crier et demander d’arrêter cette humiliation mais, le bâillon m’en empêchait. Je sentis une sensation de chaleur sur mon sexe, des doigts le parcouraient, le pénétrait. Je mouillais. Soudain, je sentis un objet qui me pénétrait. Il coulissait lentement de plus en plus profondément en moi. Ma respiration s’accélérait à chaque mouvement de cet objet. Puis on me l’enleva pour le remplacer par un objet plus rugueux et beaucoup plus large. La jouissance que j’essayais de réfréner ne se fit plus attendre. Mes jambes et l’ensemble de mon corps étaient sous l’influence de spasmes violents. On me détacha et on me positionna sur la même table à quatre pattes. Je fus rattaché, et, cambrées de façon à être la plus offerte possible. Mes deux orifices furent sollicités à nouveau. On me lubrifia et je ressenti la même sensation qu’avec Monsieur ARNAUD, mais un plug encore plus gros pris place entre mes fesses. Il entra sans réelles difficultés, offrant la vue de cet orifice si étroit à ces hommes. J’ai senti que plusieurs hommes s’attroupaient autour de cette table de torture. J’étais totalement exhibée, à la merci d’inconnus. Des commentaires fusaient autour de moi. Tous plus ou moins humiliant et crus. Puis vinrent s’abattre sur mes fesses de cuisantes fessées, comme pour me punir de l’image de plaisir que je renvoyais à ces mâles dominants qui ne le toléraient pas. Mon supplice continua, les coups étaient plus rapides, plus précis. Mes fesses s’échauffaient et devaient avoir pris une couleur rouge maintenant. Puis tout s’arrêta, me laissant dans cette position des plus humiliantes. De longues minutes passèrent, ma croupe tendue vers ces mâles qui devaient s’en accommoder. Des cris féminins se faisaient entendre. D’autres filles devaient subir des supplices. Était ce de la torture, des cris de plaisir, je ne savais plus. Le pressentiment que mon tour allait arriver me torturait. Qu’allaient ils me faire ? J’allais sans aucun doute être à nouveau humilier, traitée comme une chienne, un objet de tous les vices, sur lequel toutes les pratiques sont permises. J’entendis des pas arriver à proximité de la table qui m’avilissait. Un homme ôta mon bandeau et mon bâillon. Ils étaient tous masqués. Je fus surprise du spectacle fantasmatique que je découvrais. Autour de moi, les soumises étaient attachées à quatre pattes sur une table les fesses bien hautes, offertes à tous les assauts. Prise par cet étonnant spectacle, je ne sentis pas la cravache qui glissait dans le sillon de mes fesses et je poussais un cri de surprise et de douleur lorsqu’elle s’abattit violemment sur mes fesses. Je reçu aussitôt un deuxième coup pour me faire comprendre que je ne devais pas montrer mes émotions. Une main m’empoigna mes cheveux et les tira violemment en arrière. Une voix rauque me demanda d’un ton sûr d’elle :
« Salope ! T’aimes ce qu’il t’arrive ? »
«Les larmes aux yeux par la douleur et l’humiliation, je lui répondis :
« Oui Monsieur, j’aime être soumise et humiliée pour le plaisir de mon mari. »
« Ça t’excite salle chienne de te donner à des inconnus ? »
« Oui Monsieur. Je suis née pour être aux services des mâles et ça m’excite énormément. »
J’entendis une autre voix dire :
« Je confirme ! Cette pute est trempée. Elle mouille tellement que ça lui coule le long des cuisses. Une vraie chienne en chaleur ! »
Cette soumission devenait une source intarissable de plaisir. Un homme s’approcha en tenant son sexe. Il me caressa avec le contour de mon visage laissant au passage de la sécrétion séminal. Puis il forçat mes lèvres pour me pénétrer la bouche. Ce sexe gonflait dans ma bouche. Plus il prenait du volume, plus il plaquait ma tête contre son pubis. Il était au fond de moi, dans ma gorge pour son plaisir. Je suçais sous la contrainte de ses deux mains qui m’interdisaient toute délivrance pendant que d’autres commençaient à se loger derrière moi. On me touchait, me pelotait les seins, mes fesses cambrées, des doigts couraient entre mes deux orifices, puis s’insinuaient entre mes petites lèvres trempées d’excitation. Mon plaisir augmentait, mes gémissements étouffés s’amplifiaient dans cette salle où se mêlaient souffrance et plaisir. J’étais prise par deux de mes orifices les plus intimes, encore une fois à la merci de ces hommes. Des mains écartaient mes fesses, mes yeux se révulsaient sous le plaisir et la jouissance d’une telle exhibition. L’homme logé dans ma bouche se retira et des doigts le remplacèrent. Ces doigts portaient le goût mon plaisir, ils étaient emplis de ma liqueur. On me fit les lécher, les sucer encore et encore, pendant que d’autres enduits de gel s’occupaient de mon œillet. J’ai bien compris l’intention de cette pratique, qui inévitablement était la prémisse de la future pénétration anale que j’allais subir. Un sexe d’un volume redoutable entra en moi d’un coups. Les coups devenaient violents et s’était désormais moi qui criait et hurlait, de plaisir et de douleur. On me fit à nouveau taire en me distribuant des gifles.
« Ta gueule salope et suce ! »
Le maître qui me sodomisait me tenait par les cheveux ce qui augmentait la cambrure de mes reins. Impuissante, j’encaissais les assauts. J’imagine le spectacle que certains hommes devaient avoir. Est-ce que toutes les filles avaient été traitées de la sorte ? Les coups de butoir dans mes fesses continuaient de plus belle, ainsi que mes cris et la jouissance que j’en éprouvais maintenant. Cet homme faisait de moi sa chose et il m’offrait en spectacle à l’assemblée de plus en plus inquisitrice sur mes talents de femme soumise et d’objet sexuel. Mes cris emplissaient cette salle de tortures et de plaisirs mêlés. Puis d’un coup, mon enculeur se retira, laissant un grand vide et offrant mon trou du cul béant. Il éjacula sur mon dos. Mon cul béant laissait sûrement une vue imprenable de mes entrailles les plus intimes. Celui que je suçais se lâcha au fond de ma gorge et j’avalais son nectar. Alors, ils s’écartèrent pour durant de longues secondes me reluquée sous toutes les coutures. Je soufflais un instant quand, s’abattirent sur mes fesses une dizaine de coups de badine. Je fus, après ces sévices et plaisirs, détachée et attachée par l’anneau de mon collier au crochet du mur qui se trouvait devant moi. Puis le bandeau me fut remis sur les yeux. D’autres cris emplissaient la salle, plus forts que les miens peut être je ne savais plus. S’échangeaient-ils les soumises, quels sévices leur infligeaient-ils ? Je sentis à nouveau des attouchements, des palpations sur mon corps tuméfié de coups de badine et de prises vigoureuses. Ses mains me fouillaient, tâtaient la marchandise, me caressaient les cheveux, je me serais cru sur un marché de bétail. Je fus détachée par mon mari qui me sortis de ce lieu à la fois si terrorisant et si attirant. Il me ramena chez nous et je tombais de sommeil, exténuée par une telle soirée.

Livrée à des racailles
16 octobre 2024

je suis livrée à une bande de cailleras. Attachée nue et suspendue comme un vulgaire morceau de viande, je suis laissée seule dans une pièce. Le temps me parait une éternité. Même si je dois subir les pires outrages, je suis impatiente d’être confrontée à mes tortionnaires.

Enfin, comme une sorte de délivrance, la porte s’ouvre. Un mec, que je suppose être le chef de la bande, s’avance vers moi. En me claquant violemment une fesse, il me dit :

« Aujourd’hui, on va t’apprendre comment être au service des hommes ! Tu vas passer la journée à sucer et à avaler du sperme. »

Une angoisse me vrille le ventre. Je sais que je vais être utilisée par tous les cailleras de la cité. Pour conclure il me dit :

« Nous avons distribué des flyers dans la cité. Je crois bien que tu ne vas pas t’ennuyer. Regarde, il est sympa ce flyer ! »

Je frémis en voyant une photo de moi, en train de me faire mettre par tous les trous, avec la légende :

« Pipe gratuite. Michèle vous attend. 10€ pour sa chatte et 20€ pour son cul. »

J’en ai le vertige. Il me baise la bouche devant ses potes pour prouver son pouvoir et m’éjacule dans la bouche en longues giclées crémeuses.

« Avale putain ! Allez pétasse en position de chienne ! »

Il m’attache les chevilles, en m’écartant les jambes. Mes jambes sont écartées et je ne peux serrer les genoux. Je me sens très vulnérable dans cette position. L’idée d’être présentée ainsi à des …… inconnus est très humiliante.

« Tout sera diffusé sur le net en temps réel. Tu devras sucer tous ceux qui viendront te voir, et les laisser jouir où ils veulent. Tu ne dois jamais te cacher, ni te nettoyer, quoi qu’il arrive. Aujourd’hui, tu n’es qu’une bouche, une chatte, un cul. C’est bien compris ? »

« Oui, Monsieur. »

Sur ces mots, il sort en laissant la porte ouverte. Cinq minutes plus tard, un homme entre en me demandant :.

« Michèle j’imagine ? »

« Oui, monsieur. »

« Qu’est-ce que tu fais là ? »

Je suppose qu’il veut m’humilier un peu plus et me l’entendre dire.

« Je suis là pour vous sucer, Monsieur. »

Il s’avance, ouvre sa braguette et me met son sexe sous le nez.

« Alors suce, vite. J’ai plus important à faire. »

J’ouvre la bouche et commence à le sucer. Rapidement, il jouit sur mes seins en me disant :

« Voilà. Je voulais t’avoir pendant que tu es encore propre. Amuse-toi bien ! »

Il prend mes cheveux, s’essuie dessus et repart.

À nouveau seule, je commence à comprendre à quoi va ressembler le reste de ma journée. La porte s’ouvre à nouveau. Sans un mot, le sexe en main, il me fourre la bouche jusqu’au fond de ma gorge. Il éjacule lui aussi rapidement. J’avale avec difficulté et i repart comme il était venu.

Puis c’est un vrai défilé. Je ne les compte plus. Ils jouissent sur mon visage, sur mes seins, souvent dans ma gorge.

D’autres ayant payé me prennent par le cul et la chatte. Un groupe de trois adolescents arrive en …… gloussant. L’un d’eux me pince et tire mes seins. Je gémis. Encouragés par ma docilité, les deux autres sortent leurs sexes en même temps, et commencent à se masturber. L’un des trois dit :

« Le premier qui lui jute sur la gueule a gagné ! »

Ils y mettent du cœur. Les trois lascars halète et respire fortement. Tout à coup je reçois des giclées de sperme qui m’éclabousse le visage. Le premier ayant souillé ma figure crie :

« J’ai gagné !!!! »

Aussitôt un des deux autre, se place derrière moi et m’enfile sans autre précaution. Après deux trois vas et viens dans ma chatte et mon cul, ils éjaculent sur mes fesses. Leurs semences coulent sur jusque sur mes cuisses. Ils s’amusent à faire des selfy avec moi et repartent en rigolant et en disant :

« On vas envoyer le mms aux copains en leurs donnant l’adresse de cette pute ! »

J’allais sans doute faire sensation. Attachée, nue, couverte de sperme, je suis devenue une traînée pour le plaisir de ces jeunes salops mais malgré ma déchéance et ma honte, j’y trouve aussi un certain plaisir malsain. Je ne sais pas combien de temps a pu passer. Parfois, il y a une pause entre deux visites, et parfois les sexes s’enchaînent.

J’ai envie de vomir tant j’ai avalé de spermes différents. Depuis des heures les queues se succèdent, les insultes, les pincements et les claques sur mes seins et mes fesses. Je suis le jouet sexuel, l’accessoire, comme la partie intégrante d’une panoplie de sexe shop mais version vivante.

Le dernier, sans doute rentré du travail, a un sifflement ironique en me voyant.

« Eh bien, Michèle, on dirait que tu as été bien occupée. Combien d’hommes as-tu vidées ? »

« Je ne sais pas, Monsieur. Sans doute une vingtaine. »

« Tu te rends compte qu’il y a des femmes qui ne se font pas sauter par autant d’homme en toute une vie ? Et toi, tu viens de vider les couilles d’autant de mecs en une journée et sans les connaître ! »

« Oui, Monsieur. Je suis une chienne en chaleur. »

« Eh bien jolie chienne, j’ai un os à te donner, tiens ! »

Il me tend sa queue, et prend ma bouche. J’ai mal à la mâchoire. Ma gorge est irritée. Mais je suis si excitée que je lui donne ma bouche comme je l’avais fait au début.

Il retire son membre, et jouit dans mes cheveux. Le sperme coule sur mes paupières et mes joues.

Peu après, Christian et Alain me rejoignent. Ils me mettent un miroir devant moi.

« Regarde-toi, Michèle ! Regarde ce qu’ils ont vu, toute la journée ! »

C’est indescriptible. Mes cheveux sont collés, plaqués enduit de semence. Mes joues et le menton luisant de traînés blanchâtres. Je suis l’incarnation de la perversion. Dans ma déchéance, je reste fascinée par mon image.

« Maintenant, va prendre une douche ! Tu pues ! Tu sais combien d’hommes t’ont utiliser, aujourd’hui ?»

« Non ? »

« Vingt-huit mecs ! »

Je me lève péniblement, soutenue par mes deux hommes qui m’eméne délicatement prendre ma douche.

offrir ma femme à d’autres mâles
15 octobre 2024

Depuis des mois, je devrais d’ailleurs dire, depuis des années, je rêve d’offrir ma femme à d’autres mâles et de la regarder se faire prendre devant moi et se « donner » totalement à eux. Hélas, pour le moment, mais aussi depuis des années, elle refuse catégoriquement de « franchir le pas » même si, lorsque je la baise et qu’elle est excitée, elle aime regarder des vidéos où une blanche se fait saillir par des blacks ou tout simplement où une femme se donne à plusieurs mâles devant son mari, et que je lui dis que je souhaite lui faire faire ça…ça l’excite, elle mouille, se gode alors devant moi, me suce en regardant cependant que je lui parle de contacter des mâles pour elle, et me demande ensuite de la baiser…puis, dès qu’elle a joui, elle ne veut plus entendre parler de cela…à mon grand regret.
Pourtant, je ne désespère pas de l’amener un jour à écarter les cuisses, les fesses et à ouvrir grande sa bouche pour recevoir d’autres queues que la mienne. Je ne pense qu’à ça depuis bien longtemps et me branle chaque jour en visionnant des vidéos pornos où cette situation est filmée…je l’imagine alors, devant moi, en train de flirter avec un ou deux hommes, inconnus rencontrés en boite ou sur le net, invités à venir chez nous dans le but de la pervertir et qui, dès leur arrivée la prennent en main afin de la chauffer. Ses partenaires ont entre 50 et 55 ans, comme elle, sont assez grands, bien faits, assez minces et ont une certaine élégance et une certaine classe… . Je la regarde offrir sa bouche à la leur, enlacée par l’un de ses partenaires, face à elle, partageant avec lui des baisers fous et ardents cependant que son autre partenaire, plaqué derrière elle, se frotte contre ses fesses tout en lui caressant les seins…Je la vois se détendre petit à petit, devenir moins farouche au fur et à mesure que ses futurs amants la touchent…elle offre sa bouche à l’autre homme qui lui enfonce sa langue entre les lèvres…elle à la tète complètement retournée vers lui à s’en faire mal au cou, mais elle reçoit cette langue avec grand plaisir pendant que son autre étalon lui suce un sein après avoir entr’ouvert son chemisier sous lequel, en l’attente de leur arrivée, elle avait pris soin de ne pas mettre de soutien-gorge afin de faciliter la tache de ses partenaires. il lui mordille un mamelon, elle gémit…et tout en lui suçant le téton, il glisse une main sous sa mini jupe caressant le haut de ses cuisses, là ou ses bas s’arrêtent et ou sa peau nue invite l’oeil et la main à se glisser et à remonter vers sa culotte noire…je bande comme un malade en les regardant s’exciter tous les trois. Les mains des ses amants parcourent son corps au travers de ses vêtements, elle même touche ses deux partenaires, ses mains se glissant entre elle et leurs sexes dont on devine l’état au travers de leurs pantalons, ils bandent et je suis heureux de voir des mâles bander pour ma femme, heureux de la voir entre les mains de ces hommes qui vont, très bientôt la pénétrer, prendre sa bouche son sexe et son anus (anus qu’elle m’a toujours refusé sous prétexte que je suis trop fort..) et qi vont se vider les couilles dans cette femelle offerte et consentante. Je les entends soupirer tous les trois, leur souffle court indique leur excitation, ils se frottent de plus en plus les uns contre les autres…Ces mâles commencent à la déshabiller, lui tant, petit à petit et lentement, ses vêtements, ne lui laissant que ses bas, son porte-jarretelles et sa culotte rouge où l’on devine son excitation à l’humidité qui apparaît sur l’entre-jambe de celle ci. Ma salope bande et mouille pour ces queues qui vont la féconder dans quelques instants…j’ai hâte de le voir aller et venir en elle, dans sa bouche chaude, entre ses cuisses et surtout dans son anus presque vierge….quel bonheur que de la voir bientôt soumise à leurs désirs, mêmes les plus pervers, c’est ce que je leur ai promis lors de notre prise de contact..; »Vous pourrez lui faire TOUT ce que vous voudrez dans la mesure où vous respectez les limites qu’elle même vous fixera »…et, en en parlant avec elle, peu de choses leurs seront interdites apparemment. Elle ne souhaite pas de DP (pourtant j’aurais aimé que deux queues la prennent simultanément par la chatte, mais aussi par l’anus…) ne souhaite pas que ses amants la fiste, et ne veut pas non plus leur lécher l’anus…pour le reste, elle devrait tout accepter, mais elle seule décidera de ce qu’elle acceptera de faire et de se faire faire le moment venu. Pour l’instant, ils se sont installés dans un des canapés du salon, elle entre ces deux amants une main sur chacune de leurs queues (de belles tailles elles aussi ce qui doit lui plaire) et elle les caresse avec douceur, promenant ses mains du gland jusqu’aux couilles de ses étalons, cependant qu’ils continuent à lui caresser les seins et à fouiller sa chatte luisante et humide…je n’aurai jamais cru qu’elle serait aussi détendue pour une première expérience…je vois sa bouche entr’ouverte, elle gémit sous les caresses de ses partenaires, écarte un peu plus ses cuisses pour qu’ils puissent mieux la pénétrer de leurs doigts agiles, ils la branlent tous les deux, leurs doigts pénètrent profondément en elle, entrent et ressortent, parfois l’un des deux garçons lèche son doigt avant de le remettre en elle. L’un d’eux se met à genoux devant elle, écarte encore un peu plus ses cuisses et pose sa bouche sur le sexe de ma femme…il lèche cette femelle en chaleur et me fait bander encore plus…je me caresse et décide de commencer à me déshabiller aussi afin de pouvoir me toucher plus aisément. Elle leur demande de se déshabiller à leur tout, souhaitant elle aussi accéder à leurs corps de mâles « déshabillez vous, j’ai envie de vous voir, de vous toucher, de vous caresser et même plus encore » leur dit elle. Immédiatement, ils quittent leurs vêtements, ne conservant que leurs slips sous lesquels on devine de belles queues bien tendues…C’est vrai qu’elle a prit le temps de les exciter depuis qu’ils sont arrivés et ma foi, elle va apprécier ces deux jolies et grosses queues rien que pour elle. Elle se penche vers l’un d’eux, prend son sexe en main, approche sa bouche gourmande et pose ses lèvres sur ce gland turgescent, lui fait quelques baisers tendres puis, sous la poussée de son mâle, elle gobe cette bite avec avidité. Ses mains tiennent ce mâle par les couilles, elle les malaxe, les triture cependant que son autre partenaire à repris le léchage de sa chatte. Il doit se régaler de sa cyprine de femelle excitée et je l’envie..elle, pendant ce temps se régale de la bite qui lui défonce la bouche..;son amant lui tenant fermement la tête tout en lui parlant comme on le ferait à une vraie salope « tu aime ça, dis le, dis que tu aimes sucer »…Elle a la bouche pleine, ne réponds pas mais le regarde dans les yeux d’un regard qui en dit long sur son plaisir…il lui pilonne la gorge l’amenant parfois à se retirer son gland touchant, sans aucun doute vu sa taille, le fond de sa gorge…elle avale ce noeud avec gourmandise et essaye de l’enfoncer au maximum dans sa bouche…je navigue dans le bonheur à la voir ainsi entre ces deux mâles, heureux de la voir prête à la saillie…Puis, l’homme à genoux se relève et changeant de rôle, vient se faire sucer à son tour cependant que l’autre homme lui demande de se mettre à quatre pattes sur le canapé afin lui dit il, de lui lécher l’anus…Elle s’installe, bouche prise par son autre amant qui, lui aussi, lui maintient fermement la tête contre son ventre, lui baisant littéralement la bouche. Je vois ses belles couilles s’écraser contre les lèvres de ma femme, puis il se retire et revient aussitôt à la charge, répétant ce mouvement de plus en plus vite…je pense qu’il veut décharger dans sa bouche avant de la baiser et je suis ravi de cela, espérant pouvoir poser ma bouche sur celle de ma femme (si elle accepte que je le fasse) une fois qu’il aura joui entre ses lèvres…j’ai envie de goûter à son sperme dans la bouche de ma petite salope. Son autre amant lui glisse sa langue entre les fesses après avoir, durant quelques instants, branlé son anus avec un puis deux et enfin trois doigts afin de la prépare…Je pense qu’il veut l’enculer et là aussi, j’en suis ravi, depuis le temps que je veux lui défoncer le cul…c’est un autre mâle qui aura la primeur de son anus et j’en suis heureux. j’espère simplement qu’il saura lui faire apprécier cette forme de pénétration et qu’elle aimera cela, afin que, plus tard, elle continue à se faire démonter l’anus par ses futurs amants. Il se prépare à la prendre par derrière et le lui dit « je vais t’enculer pendant que tu suces et nous allons essayer de jouir tous les deux en toi, en même temps, alors va doucement sur la bite de mon ami, ne va pas trop vite, même si tu as envie de recevoir son sperme ». Ce disant, il présente son gland, qu’il vient de couvrir de vaseline, entre les fesses de ma femme, et très doucement, force, peu à peu son oeillet. Je la vois cesser sa fellation, fermer les yeux, réprimer une grimace. Ce gland a, évidemment, du mal à la pénétrer, mais elle a décidé de se faire enculer ce soir et elle m’a avoué qu’elle irait jusqu’au bout, ne serait ce que pour m’exciter, ce qui, bien entendu l’a ravi. Enfin une queue va pénétrer son cul de femelle et elle va savoir combien c’est bon d’avoir une bite entre les fesses. Il pousse lentement, le gland s’enfonce doucement, il lui dit « pousse et respire fort, cela va t’aider et va me permettre de bien te sodomiser, ok ? » « oui, vas y mais fais doucement, prends moi par derrière, lentement, tiens moi par les hanches, je vais essayer de te donner mon cul avec plaisir et pour le plus grand plaisir de mon mari qui ne m’a jamais sodomisé ». J’aime l’entendre parler ainsi à cet homme qui, alors qu’elle ne le connait que depuis une petite heure est en train de prendre possession de ses fesses, de son anus et va se vider les couilles au fond d’elle. Il rentre peu à peu, son gland disparaît entre les fesses de ma femme, il est totalement en elle, il pousse doucement, s’enfonce de plus en plus entre ses fesses…elle, elle a cessé de sucer l’autre queue, concentrée sur la sodomie, elle serre les dents, crispe ses mâchoires…elle doit avoir un peu mal, mais elle tient bon, elle veut cette queue au fond d’elle, elle veut perdre son anneau anal avec cet inconnu, elle veut se comporter en vraie salope devant moi…J’adore cette situation. Peu à peu, elle se détend, son étalon la pilonne lentement puis, petit à petit, s’enfonce jusqu’à écraser ses couilles sur le cul de cette femme chaude comme la braise. Elle reprend alors la queue de son autre partenaire et la lèche entièrement, descend le long de la hampe dressée, s’attarde sur les couilles qu’elle gobe tout à tour, les faisant rouler dans sa bouche avide. Je n’en reviens pas de la voir se comporter ainsi, elle qui ne voulait pas coucher avec d’autres hommes…Quel chemin parcouru…Que de temps perdu, si elle avait su, il y a longtemps qu’elle aurait dû franchir le rubicond…et me faire cocu… Ses partenaires, d’un commun accord, décident de jouir en elle et accélèrent leurs mouvements. Prise en ces deux queues, elle n’est plus qu’une femelle en folie, son corps réclame leurs queues, demande leurs spermes, elle veut qu’ils la remplissent, et entre deux succions le leur dit « allez y, accélérez, remplissez moi, j’ai envie de votre semence en moi, faites de moi votre petite femelle, je veux être votre salope devant mon mari..;jouissez en moi afin qu’il puisse ensuite me lécher, il en a envie ». Alors, pour satisfaire ma petite putain, ils accélèrent leurs va et vient, qui dans sa bouche et qui entre ses fesses, et ensemble, déchargent leurs semences en elle, remplissant son anus et sa bouche de leur foutres chauds, et se retirent afin de me laisser prendre possession, à mon tour, de sa bouche encore pleine de sperme. Je l’embrasse avec passion, prenant entre ses lèvres, avec ma langue gourmande le sperme que son partenaire à fait jaillir en elle et qu’elle n’a pas totalement avalé. J’aime ce goût salé, j’aime prendre sa bouche encore souillée par son amant avant d’aller, alors qu’elle reste cambrée, lui bouffer le cul. Je lui demande de changer de position et, couché sur le canapé, elle vient positionner son cul au dessus de ma bouche afin de laisser couler le foutre de son autre partenaire dans ma bouche ouverte. Le goût n’est pas tout à fait le même, mais c’est tout aussi excitant pour moi et je me régale entre ses fesses chaude.
Elle est heureuse de cette première partie de la soirée et avant de poursuivre, nous prenons une petite collation afin de reprendre quelques forces. Elle toujours en porte-jarretelles et bas, nous nus autour d’elle. Les caresses continuent tendrement échangées entre les trois partenaires, moi, seul, je regarde, j’apprécie qu’elle soit satisfaite et dans l’attente de la suite, nous prenons un petit verre.Un peu d’alcool, mais pas trop, quelques petits canapés et nous pourrons reprendre le cours de la soirée, soirée uniquement consacrée au sexe et surtout à ses amants. J’ai hâte que la soirée reprenne, hâte de la voir entre ses deux amants, s’offrant sans pudeur à leurs envies et à mes yeux. Je vous raconterai la suite…bientôt.