A l’occasion d’un salon professionnel, j’étais monté à Paris avec six commerciaux faisant partie de l’équipe que je dirigeais.
Ma femme, Julie, avait profité de ce déplacement pour m’accompagner à la capitale.
Une erreur dans les réservations m’obligea à partager ma chambre avec Alex pour les trois derniers jours du salon.
Il aurait été mal venue de proposer ce partage à d’autres gars de l’équipe car ma femme n’était pas censée faire partie du voyage et je devais faire profil bas.
Julie est une très jolie femme de 44 ans et elle plaisait beaucoup à toute l’équipe qui était entièrement masculine et Alex ne se fit pas prier d’accepter l’offre à l’idée de dormir dans le même lit que mon épouse.
Alex, un peu gêné de cette situation, me précisa qu’il avait pour ’habitude de dormir nu, d’autant plus qu’il faisait chaud dans la chambre. Il s’inquiétait que cela soit dérangeant pour moi et Julie.
Je lui répondis qu’il était tout à fait naturel qu’il dorme nu en cette période estivale et qu’il en était d’ailleurs de même en ce qui me concerne.
Comme il aurait été gênant que nous dormions côte à côte, nous convenions de placer tout naturellement Julie entre nous.
Julie, imaginant devoir affronter les erections nocturnes de deux homme, accepta sans enthousiasme, précisant qu’elle garderait sa chemise de nuit.
Pendant que Julie se démaquillait. Alex pouvait apercevoir ses fesses nues dans l’entrebâillement de la porte de la salle de bain et je pu voir son sexe bander quand il se déshabilla avant de se mettre au lit.
Cette situation m’excitait aussi beaucoup et je tirais rapidement le drap sur moi pour cacher mon sexe bandé.
Julie n’avait emmené à Paris qu’une chemise de nuit transparente et hyper courte. Quand elle nous rejoignit dans le lit, elle ne pouvait cacher grand chose de son anatomie, et Alex était ravi du spectacle.
Il matait les seins en poire qui se balançaient sous le tissus transparent . Julie était très certainement excitée par la situation, car ses tétons dressés pointaient sous la chemise de nuit et durcissaient sous le regard d’Alex qui la matait ouvertement.
La petite toison blonde était soigneusement taillée, ne formant qu’un trait au dessus du clitoris. Alex pouvait la voir par transparence, lui permettant de deviner les lèvres d’un sexe parfaitement épilé.
Ma femme, en s’agenouillant sur le lit pour se glisser entre les draps, sentait le regard d’Alex posé sur elle.
Gênée, ses joues rougirent, et elle ramena une main sur sa poitrine pour dissimuler pudiquement le décolleté plongeant sur ce que les commerciaux décrivaient entre eux comme « ses jolis nichons de salope ». Il faut dire qu’à l’occasion de ce déplacement sur Paris, séparés de leurs épouse, ils avaient tous fini par fantasmer sur elle.
En écartant le drap elle vit la queue raide d’Alex et se maudit de ne pas avoir mis dans la valise un pyjama qui aurait mieux convenu à cette situation embarrassante.
Avant de se glisser entre les draps, Julie ne put éviter de découvrir aux yeux d’Alex sa croupe dénudée que la nuisette ne pouvait complètement recouvrir. Inconsciemment cette situation l’excitait et sa chatte était très ouverte. Son épilation permit subrepticement à Alex de voir clairement tous les détails de son anatomie. Les lèvres de son sexe s’ouvraient largement, faisant d’elle une femme prête à être saillie.
Alex se dit qu’elle devait être au lit une vraie petite salope.
Tournant le dos à Alex elle vint se blottir entre mes bras.
Nous éténiames les lampes de chevet, et la chambre était faiblement éclairée par les lumières de la rue car je n’avais volontairement pas complètement tiré les rideaux occultants, pour qu’Alex puisse la voir dans une demie obscurité.
Comme je le faisais habituellement je relevais la chemise de nuit pour découvrir les fesses de ma femme que je caressais en laissant courir mes doigts vers son sexe.
Alors que Julie s’assoupissait, Alex, qui avait trop chaud, retira le drap de son côté, et découvrit le corps à moitié nu de ma femme.
Alex remarqua évidemment ma main posée sur le sexe de Julie et mon majeur enfoncée dans la chatte.
Il se bascula sur le côté pour venir frotter sa queue bandée contre la fesse droite de Julie.
Le sexe toucha accidentellement ma main, et, sans réfléchir, je pris la tige entre mes doigts pour la branler doucement contre les fesses de ma femme. La situation m’excitait et je voulais ainsi lui montrer que j’étais d’accord pour qu’il baise Julie.
Alex ne bougeait plus, se laissant aller sous la caresse.
Je dirigeait le membre vers la fente de Julie de telle sorte qu’il prit la place que mon majeur occupait quelques minutes auparavant. Julie dans un demi sommeil se laissait faire et je fis pénétrer la queue tendue d’Alex à moitié. Elle avait facilement frayé son chemin dans le conduit chaud et humide de ma femme qui instinctivement cambra les reins pour faciliter la pénétration.
Alex était tendu comme un arc et je sentais qu’il était déjà au bord de l’explosion.
Quand la queue eu pénétré ma femme à moitié, je commença à branler le sexe tendu.
Alex glissa une main entre nous pour saisir un sein. Il se laissait branler entre mes doigt tout en malaxant la poitrine de ma chérie. Il pinçait les bouts érigés qui se frottaient contre ma poitrine. Mon sexe était tendu au maximum il pointait entre les cuisses de Julie pendant qu’Alex, encouragé par la branlette, donnait des petits coups de reins pour faire monter son plaisir.
Je sentais la verge gonflée entre mes doigts et je compris qu’Alex était sur le point d’ejaculer. Je temporisais les allers et venues sur la verge d’Alex le maintenant au bord de l’orgasme en tirant à fond sur le prépuce sans bouger. Il poussait des petits râles et se déchaînait sur les seins de ma petite salope qu’il malaxait avec sa main libre.
D’un coup je sentis la sève montée dans la tige sous mes doigts qui la serraient fermement.
Il y eu une longue giclée de sperme, immédiatement suivie d’une autre. J’avais l’impression de tenir un tuyau d’arrosage que je maintenait dans la chatte de ma femme.
Alex eu ensuite 3 giclées un peu plus espacée. Je lâchait le sexe et il s’enfonçait d’un coup dans la motte pleine de jus. Il poussait des râles de satisfaction et sa main était crispée sur les seins de Julie qu’il avait rassemblés l’un contre l’autre.
Ma petite salope de femme avait parfaitement remplie son rôle de vide couilles.
