Club privé de Pascaline17

L’autre jour un fan m’a demandé : « Imagine, tu as tous les pouvoirs, tu ordonnes quoi, à qui, pour te donner le max de plaisir ? »
Voici la réponse.

D’abord, il y a deux hommes. Pourquoi se priver ? Ils sont nus. On est tous nus. Je prends la main de l’un d’eux, je lui demande de me caresser la chatte, juste caresser la fente, pendant que j’attire l’autre que j’embrasse goulument. À celui-là je prends sa queue d’une main. Il bande dur déjà. J’adore cette sensation dans ma main. Je commence à mouiller. Je prends la tête de l’homme qui me caresse et l’amène vers ma chatte pour qui me la lèche. À celui que j’embrasse, je lui descends la tête vers me seins, je veux qu’il me suce les tétons, que ses mains me malaxe ma poitrine. Je continue de le branler. Je ne sais pas s’il va tenir le coup longtemps ! Je sens des vibrations dans ma main. Puis je me retourne d’un seul coup, c’est moi qui commande, non ? Je me mets à genoux. Je demande à celui qui me lécher la chatte de jouer avec mon petit trou et de le lécher. Il s’exécute Ouah !!! trop bon !! J’ai la colonne vertébrale qui vibre. J’ai mis l’autre devant moi, je le suce, d’abords son gland puis toute sa queue, jusqu’au fond. Il se retient de jouir. J’ai la chatte tremopée, je demande à l’autre de me la pénétrer. On reste un bon moment comme ça, à faire des va-et-vient réguliers, qui font monter le plaisir. Puis je demande à l’autre de m’enculer, il rentre sa queue doucement, quelle sensation !!! Je veux jouir… Avec une main je me branle le clito par-dessous mon ventre, pendant que je continue de sucer l’autre. Je leur fais comprendre par un râle que c’est le moment. Celui que je suce me lâche tout dans la bouche. Ça déclenche l’orgasme, l’autre donne un dernier coup de rein, je sens sa queue qui crache son foutre dans mon cul. Mon clito finit le travail… JE JOUI !!!

Beaucoup le savent ici. J’aime la sodomie. Le seul problème c’est que mon mari… pas trop ; c’est pas son truc. C’est pas grave, on s’arrange, et puis il a d’autres atouts. Hummm !!! Du coup, dernièrement on est passé par un site coquin pour trouver près de chez nous quelqu’un qui pourrait nous aider… enfin surtout pour moi.
Beaucoup de réponses. On en a sélectionné un. RDV dans le bar de l’hôtel où on a loué une chambre. Type avenant… mais surtout très entreprenant. Bref. On était au bout du comptoir dans un coin discret, à l’écart des quelques personnes qui prenaient l’apéro à cette heure-là. Notre ami est allé droit au but : « Bon… Je peux avoir un avant goût ? Je peux y mettre ma main ? », dit-il en posant son regard sur ma jupe. Je me rappelle avoir dit : « On est là pour ça ! » en rigolant. Il a regardé mon mari qui a acquiescé avec un « Je t’en prie ! ». Ni une ni deux, le gars passe la main sous ma jupe entre mes jambes en commençant à caresser ma chatte par-dessus la culotte. J’ai légèrement sursauté mais très vite le fait de me faire peloter dans un bar me réveillait la libido. « Clitoridienne ou vaginale ? », « Les deux » j’ai répondu en rigolant. Il a fouillé ma fente à travers ma culotte en soie qui donne une sensation de seconde peau et trouvé rapidement mon petit bouton avec lequel il s’est mis à jouer. J’ai rapidement commencé à mouiller. Il a passé sa main dans la culotte pour vérifier, j’ai supposé, une fois fait il a immiscé un doigt dans ma fente. Là j’ai commencé à sentir une chaleur en bas du ventre. Mon marie buvait son verre en vérifiant que personne dans le bar ne se rendait compte de rien.
On a abrégé notre apéro et rejoins l’ascenseur où le type a mis sa main sur mes fesses par-dessous la jupe il l’a fourra une fois de plus dans la culotte, il faisait glisser un doigt dans la raie à la recherche de mon petit trou. Il le trouva. Il jouait avec… Ma colonne vertébrale s’était mise à frémir. J’avais envie qu’il y mette son doigt ! Mon marie regardait amusé semble-t-il.
On est sortis de l’ascenseur et retrouvés dans la chambre. Derrière moi, à peine la porte fermée, il m’a entouré de ses bras, ses mains malaxaient mes seins et jouaient avec mes tétons un moment. Je glissais une main derrière pour trouver sa queue gonflé dans son pantalon. Il m’a fait comprendre ce qu’il voulait ; je me suis retournée, accroupie. Il avait déjà sorti sa queue. Pas énorme, mais bien raide et gonflée. Sans la toucher de mes mains, je l’ai mis directement dans ma bouche, tenant ses hanches. Mesdames ! Vous le savez toutes ! Quand on fait ça bien, c’est gagné ! Il m’a arrêté avant d’éjaculer, je sentais qu’il allait venir, fallait que je me calme. Il m’a fait remettre debout, relevé mon petit haut noir au dessus de ma poitrine et s’est mis à les prendre à pleine main en me suçant les bout l’un après l’autre. Là, il y a eu un flash. Mon mari venait de prendre une photo (c’est la première plus bas). Je branlais la queue du type doucement pendant qu’il délirait sur mes seins. Je commençais vraiment à être excitée ! Soudain, il m’a descendu ma jupe, ma culotte, enlevé mon haut. J’étais à poil. À genoux, ll malaxait voluptueusement ma chatte, en lui donnant des petits coups de langue de temps en temps. Je me rappelle qu’il a dit qu’elle était gonflée à souhait, comme un abricot. Mon mari le dit souvent aussi, il m’a regardé un peu jaloux de partager son expression favorite. Par contre il me partage sans problème le saligaud !!! Et tant mieux pour moi. Le type s’est remis debout, les mains sur mon cul, un doigt flirtait avec mon anus, tout ça en m’embrassant goulument. Je me suis à mouiller sérieusement. Il m’a fait m’allonger le dos sur le lit, m’a soulevé une jambe et s’est mis à me lécher la chatte. Mon mari a pris une autre photo. Bon, c’est lui qui gère ça, j’ai pas mon mot à dire au moment de les publier… Il y en a que j’aimerais qu’il mette et d’autres pas… Mais bon. C’est le deal !
Le gars léchait mon anus maintenant tout en me doigt la chatte et le pouce qui roulait mon clito. Il savait y faire ! Un pro ! Là j’ai vraiment failli jouir. Il s’en est aperçu. Il a sorti une boite de son pantalon avant de l’enlever et mis sur ses mains une espèce de crème qui sentait la noix de coco. Il m’en mettait partout sur le corps. Il s’attardait sur mes seins, ma chatte et enfin entre mes fesses, en me retournant, jusqu’à asperger mon anus de cette crème. Si j’avais été une jeune fille, j’aurais déjà joui. Mais je résistais (plus si jeune que ça !), difficilement, mais je résistais. Puis, il m’a fait mettre à plat ventre sur le lit en remontant mon cul. Il m’a pénétré très facilement la chatte, assez brusquement, mais ça ne me déplaisait pas, et puis celle de mon mari doit forcer un peu plus pour rentrer vu sa taille, alors il m’en faut beaucoup plus pour m’apeurer. Par contre dans mon petit trou elle allait être parfaite j’imaginais. J’attendais ce moment avec impatience. J’étais venu là pour ça… entre autres ! Pendant qu’il pénétrait ma chatte en feu, il commençait à lubrifier mon anus. Le plaisir me montait à la tête par vagues successives de plus en plus fortes. J’ADORE ce moment là. Il le comprit… c’était le moment, j’en pouvais plus. Il a sorti sa bite de ma chatte, et rentré son gland dans mon petit trou. Quelle sensation !!! Il a commencé doucement un va-et-vient, longtemps, et de plus en plus rapidement, profond. Il a commencé à pénétrer plus fort en me mettant des tapes sur les fesses… Qu’est-ce qu’est c’est bon ! Mon mari c’était mis à côté de moi, il me roulait les tétons, m’embrasser… Le gars s’est redressé et a donné des derniers coups de reins, il craquait, il éjaculait… JE JOUISSAIS… FORT… TRÈ FORT. Une sensation rarement éprouvée. Tu m’étonnes !!!
Et puis le gars est parti. Comme ça ! Je m’étais rhabillée. Mais mon mari ne l’entendait pas ainsi. Il me fit m’assoir, me baissa mon haut par-dessous les seins et me demanda de le masturber. Je me suis exécutée. Je savais ce qu’il voulait. Il a rapidement tout lâché sur mes seins. Il a pris une dernière photo le cochon. Elle est en bas…

Le week-end dernier avec mon mari on a accepté d’accompagner une bonne copine voir son nouvel amoureux dans un appart qu’il partage avec deux autres gars. Elle avait un peu peur d’y aller seule. Le truc c’est que dès qu’on est arrivé, elle a disparu avec son copain dans une chambre. Et qu’on s’est retrouvé mon mari et moi avec les deux autres gars, sympathiques d’ailleurs, mais avec un penchant pour l’alcool et autres… On ne se laisse pas prier non plus. Ambiance bonne musique et à danser, pour tout dire. Mon mari s’est très vite retrouvé affalé dans le divan avec un regard qui ne voulait plus dire grand-chose. Quand j’y repense maintenant, je soupçonne les gars d’avoir mis des trucs étranges dans son verre, d’ailleurs moi je me sentais bizarre aussi, mais active… Bref. Je me suis retrouvée en train de danser avec un black qui frottait son pénis contre mes fesses derrière moi, les mains sur mon ventre en train de remonter sur mes seins qu’il s’est mis au bout d’un moment à caresser voluptueusement. J’ai fait celle qui se défendait contre ses assauts, mais apparemment il ne me prenait pas au sérieux. Son pote (qui était petit en comparaison de mon imposant mari assis à côté de lui dans le canapé), se marrait et dirigeait le mec derrière moi comme un metteur en scène. « Fais-lui tomber la robe ! » J’ai sursauté… mais trop tard ; le black avait du savoir-faire, il a descendu les bretelles de ma robe qui est instantanément tombée à mes pieds. Je me retrouvais en culotte et les seins à l’air (car je n’avais pas mis de soutien-gorge, j’aime l’effet visuel et la sensation des tétons contre le tissu). Sur le moment je me suis un peu brusquée en croisant mes bras sur la poitrine, mais le black les a redescendus le long de mon corps avec force et me tenait encore plus fermement qu’avant contre lui. Il était hypra excité, je sentais sa queue gonflée contre mes fesses. Il jouait avec mes bouts de seins. Je me défendais car je n’étais pas trop à l’aise. Puis, il a descendu une main qui a agrippé ma culotte en la remontant au maximum, elle me rentrait dans la fente. Je ne sais pas pourquoi, ça m’a excité, je ne sais pas… la pression sur le clito… J’ai senti une chaleur dans mon ventre. « Oh ! Quelle grosse chatte bien gonflée », qu’a dit l’autre depuis le canapé, ça je m’en rappelle bien… car c’est à ce moment-là que j’ai senti que j’étais mouillée. Il avait sorti sa queue et avait commencé à se toucher. Puis il a dit au black de descendre ma culotte. En me tenant fermement, le black l’a descendu… « Ouah ! Quelle chatte » s’est écrié l’autre en se levant (je l’entend encore !). « Met-lui un doigt dans la fente, à voir si elle mouille ». Même si j’avais commencé par paniquer… j’étais mouillée putain ! Et le black en a profité pour me doigter. Là mon cerveau s’est pris une dose de sensation bien reconnaissable ; j’étais excitée à mort. Ma culotte était tombée à mes pieds comme ma robe. J’étais à poil. Le black a écarté mes cuisses avec ses deux mains sous les ordres de l’autre qui d’un seul coup s’est mis devant ma chatte à genou à se branler comme un malade « Quelles lèvres ! », il a dit. Puis il s’est approché un peu plus pour me lécher la chatte. Je me sentais trempée, sa langue fouillait entre mes lèvres, puis il l’enfonçait dans mon vagin, j’étais pénétrée par une langue. Il le faisait super bien ! La sensation dans le ventre s’accentuait. Le noir derrière, avait amené ma main sur sa queue et me demandait de le masturber, pendant ce temps-là il immisçait ses doigts dans la raie de mes fesses jusqu’à me titiller l’anus. J’eu un spasme. Même si mon mari ne captait plus rien le pauvre, il semblait bizarrement profiter du tableau en se caressant la queue à travers le pantalon (Faudrait que je m’occupe un peu de lui quand même, je me suis dit). Il l’a sortie d’un seul coup pour dire qu’il avait la plus grosse… Les autres ont rigolé, tout en continuant à me lécher et à me caresser le cul. N’en déplaise à mon mari, je sentais bien que la queue que je branlais était largement aussi grosse que la sienne. L’autre me trifouillait la chatte avec sa langue comme un malade, puis il s’est mis à me suçait le clito et à me doigter en même temps tout en me caressant les seins d’une main… Et là j’ai dit stop ! J’allais jouir, ça allait trop vite pour moi. J’ai repoussé celui qui me léchait et me suis dirigée vers mon mari en prenant le black par la main. Je me suis mis à genou et commencé à sucer mon mari, j’ai mis mon cul bien en arrière, je sentais l’air sur ma chatte tant mes fesses étaient écartées. Le black a tout compris évidemment. Il m’a pénétrée facilement, et rapidement il a enfoncé son gland jusqu’au fond. Quelle sensation ! Elle était super longue sa queue ! Il me mettait en même temps le pouce dans le cul. Là… mon cerveau s’est mis à vaciller… L’autre s’était assis à côté de mon mari et me malaxer les seins par en dessous tout en se masturbant… Mon mari a tout lâcher dans ma bouche. Celui qui me malaxait les seins en a eu marre ; il a repoussé le black, s’est mis à sa place, m’a malaxé l’anus en faisant monter du foutre depuis ma chatte pour lubrifier, puis il y a entré sa petite queue bien raide… Il m’a enculée. J’AI JOUI ! Car en même temps sa main en passant par en dessous de mon ventre me trifouillait la chatte et mettait mon clito à dure épreuve… Putain ! J’étais encore excitée, ça devenait presque douloureux… mais qu’est-ce que c’est bon !!! Soudain, il m’a fait mettre par terre sur le dos, m’a mis sa queue au dessus de mes seins et m’a demandé de le branler. Le black s’est mis à genou devant mon entre-jambe… Et il s’est mis à se branler comme un fou. Mon mari regardait. Il avait sorti son téléphone, certainement pour prendre une photo comme à son habitude. De l’autre main je me frottais le clito… je voulais encore jouir !!! Je masturbais le petit gars, sa queue était super dure, j’adore cette sensation entre mes doigts… Puis, j’ai senti comme une vibration dans ma main quand il a tout lâché. Son sperme est sorti en trois quatre jets bien fournis sur mes seins. C’est là que mon mari a pris la photo en mettant le téléphone au dessus de mes seins, j’ai encore la bite du gars dans la main sur la photo (ils n’on pas voulu qu’on garde les photos où ils apparaissaient, respect). Puis j’ai étalé le foutre sur ma poitrine, sur mon corps. Le petit gars me trifouillait avec ses doigts les tétons tendus et trempés de son sperme, il avait un sourire bien pervers. J’ai senti que mon autre main que j’avais mis à branler mon clito était mouillée. Le black avait éjaculé sur ma chatte. J’ai intensifié la pression sur mon clito plein de foutre, le regard de ces trois hommes qui me mataient m’a fait monter le plaisir qui arrivait à son maximum… L’autre continuait de rouler entre ses doigts mes bouts de seins… je sentais mon corps mouillé de sperme… même dans ma bouche j’en avais… Je me souviens avoir lâché un râle de jouissance. La deuxième est toujours la plus forte ! N’est-ce pas mesdames ?

Je m’étais réveillé au petit matin. L’invité dormait dans l’autre canapé. Mon mari devait être dans notre chambre. J’ai pris une douche, mis ma robe de chambre de soie noire et suis sortie de la salle de bain. L’invité était debout dans le salon. « Je m’en vais », qu’il me dit. Je lui propose de l’accompagner, on passe par le garage et d’un seul coup il me met contre le capot de la voiture et m’embrasse en me fouillant la bouche avec sa langue. Sa main est déjà sous ma robe de chambre à me malaxer le minou. Je me suis laissée faire, je ne sais pas pourquoi. Enfin, si… Le souvenir de ce qu’il m’avait fait la veille ravive ma libido. Ses doigts fouillent ma fente qui est déjà humide. Il arrête de m’embrasser et d’une main il me descend les bretelles de ma robe. Il se met à me manger littéralement les seins. L’autre main malaxe mes fesses, un doigt me titillant l’anus. Il recommence à m’embrasser. Là le désir monte comme un tsunami. Je tâte son pantalon, sa queue veut sortir, la braguette est tendue. Je l’ouvre, sa queue jaillit. Je la branle. D’un seul coup il me prend par les hanches, m’assoit sur le capot de la voiture de mon mari, m’écarte les jambes et matte ma chatte en se masturbant. Il la touche, l’écarte avec deux doigts, s’approche et me pénètre facilement, je suis trempée. Il fait des grands va-et-vient la bite sortant et entrant avec un bruit de succion. Et d’un seul coup il l’enfonce, reste appuyé contre moi en bougeant ses hanches. Je me retiens de jouir… Puis il sort sa queue, me fait mettre à genoux pour que je le suce. Je commence… et là, un flash. Mon mari est à la porte du garage et vient de prendre la photo que vous voyez. L’invité est d’abord surpris. Mon mari se met à rire, lui aussi. Ils se sont compris apparemment… Avec sa main il me pousse la tête vers sa queue. Je le suce. Il éjacule rapidement. J’en ai plein la bouche. Il rentre sa queue. Nous dit au revoir et s’en va comme si de rien. Je m’étais mise debout. Mon mari s’est approché et m’a touché la chatte. « T’as mouillé comme une bonne grosse salope », qu’il me dit. Il me retourne la tête sur le capot, le cul en arrière et avec ses doigt m’étale le foutre jusqu’à mon anus. Il avait sorti sa queue. Il me met juste le gland un moment dans mon cul avant d’enfoncer sa bite de plus en plus profond en me malaxant les seins, en triturant mes tétons. Je n’avais pas encore joui, mais là je n’en pouvais plus. Il a tout lâché dans mon cul, j’avais encore du sperme de l’invité que me coulait des lèvres. J’ai joui. Fort.
Puis on est allé se coucher de nouveau… tranquillement. Ma belle chatte en forme d’abricot bien juteuse… Mon mari le vérifiait de temps en temps.

Avouer ses péchés…

Avouer ses péchés…

En fait, ce qui s’est passé ce soir-là, c’est qu’on avait pas mal bu pendant la soirée, on avait même beaucoup bu quand j’y repense. Ce n’est pas une excuse, mais bon, faut que je raconte, comme j’ai un peu honte… c’est comme avouer ses péchés… on se sent mieux après.
Bref, je suis sorti de table pour m’étaler dans le canapé. Mon mari avait amené un type (qui est une relation d’affaire) à prendre un apéro dinatoire, celui-ci n’avait pas arrêté de mater mes seins. Faut dire que le tissu de ma petite robe laisse bien entrevoir les tétons qui pointent toujours chez moi, comme ça peut se contempler sur une photo d’une de mes contributions. D’un seul coup il a dit : « Si tu continues à me montrer ta culotte comme ça… les boutons de mon jeans vont sauter ! » Ce n’était pas tout à fait innocent de ma part ; j’avais écarté les jambes sous ma robe courte pour aérer l’entrecuisse moite, le fait qu’on me mate les seins si avidement m’avait légèrement excité. Mon mari qui n’en rate pas une a plaisanté : « Je croyais que le port de la culotte était interdit à la maison. » Prise au jeu, je l’ai enlevée en riant. Le type s’est mis debout. « Bon… Ben maintenant montre-nous ce qui y avait sous la culotte ! » J’ai relevé ma robe sur mon ventre. J’ai fermé les jambes, mais d’avoir mon pubis à l’aire et de me savoir observée m’a donné comme un frisson le long de la colonne vertébrale. Mon mari s’est aperçu de mon excitation je crois, car il s’est levé aussi. Vu son regard ennuyé, il semblait regretter sa plaisanterie (mais bon c’est lui qui m’avait provoqué !)
Finalement, ils se sont mis à rire tous les deux, comme s’ils avaient passé un accord. Le type fixait le triangle de mon mont de vénus coupé court. Soudain il a dit avec une voix un peu éméché. « Faisons un jeu… Et si… on se masturbait ton mari et moi en te regardant toi aussi te masturber, hein ? Après tout… on se touche pas, comme ça on pourra pas dire qu’elle t’aura trompé », qu’il dit en se tournant vers mon mari qui se met à rigoler bêtement. « Le dernier qui joui a gagné ! D’accord ? », ajoute-t-il. On s’est regardé avec mon mari… Pourquoi pas ! disaient nos regards. Ni une ni deux, le type a soudain sorti sa bite. On s’est regardé avec mon mari qui ne savait plus trop quoi faire. Elle n’était pas très grande, plutôt trapue je dirais. Du coup, mon mari a sorti la sienne. Même au repos, elle est toujours impressionnante je dois dire.
Sans vraiment m’en rendre compte, j’ai commencé à me caresser la fente à voir les deux queues. Ils se sont mis à bien bander et à se branler sérieusement. Le type a ajouté : « Écarte bien les cuisses please ! » Je me suis exécutée. J’ai sentie l’air sur ma chatte, et surtout les regards, un autre frisson m’a envahi… Je suis fier de mon sexe légèrement gonflée, un abricot juteux aime à dire mon mari (vous pouvez le voir sur les photos d’une de mes contributions là aussi) qui avait commencé d’ailleurs à prendre des photos, que vous pouvez voir ici. (Mais ça n’a pas duré longtemps : c’était soit les photos, soit se branler, il a choisi…). J’ai commencé à pénétrer ma fente avec deux doigts. Ils se sont rapprochés tout les deux. Le type s’est mis à genou bien devant ma chatte et m’a dit « montre tes seins et fait voir ta vulve ! » J’ai écarté ma fente et introduit un doigt entre les lèvres qui apparemment restées ouvertes à souhait vu les yeux du gars. Puis, j’ai baissé les bretelles de la robe. Les bouts de mes seins étaient tendus. De les voir tous les deux se masturber m’excitait beaucoup, j’avais les tétons qui bandaient vraiment dur maintenant, et je sentais ma chatte mouillée, je crois que les deux gars s’en apercevaient, mon mari s’était arrêté de se masturber, je le connais, il allait tout lâcher. Il est venu à côté de moi, la bite au dessus de ma tête et prenait quelques photos. L’autre continuait à se toucher la bite tranquillement. Je m’étais allongée sur le dos, la tête sur un coussin. Le type matait ma chatte et mes seins comme un malade. Je me doigtais le vagin, ça me coulait entre les cuisses, entre les fesses. Je crois que c’est ça qui l’a incité… Car j’ai senti un doigt qui me rentrait dans le cul pendant que mon mari s’était mis à m’embrasser, m’explorant la bouche avec sa langue. Mon foutre avait lubrifié mon petit trou mis en évidence vu que j’avais replié mes jambes et que je soulevais parfois mes hanches en me cabrant de plaisir. Mais ce doigt dans le cul m’a fait comme une onde de choc dans le cerveau. Mon mari lui, n’a rien trouvé d’autre que de me mettre son gland à la place de sa langue dans ma bouche. Je l’ai sucé… Je n’étais pas loin de jouir avec un doigt enfoncé jusqu’à la garde dans l’anus et une bite qui allait tout lâcher dans ma bouche.
Puis, le gars a enlevé son doigt de mon cul, il m’a retiré les mains, et là j’ai senti la chaleur de sa queue qui me pénétrait doucement… Mon mari lui, s’est vite retiré de ma bouche et a soudain tout lâché sur mes seins, il s’est mis à les malaxer en étalant son foutre tout en faisant sortir les dernières goutes de son sperme avec l’autre main…
Le type me pénétrait de plus en plus rapidement et profond… Puis d’un seul coup il s’est retiré, sa bite pointait vers le plafond… Il m’a retournée, m’a obligée à me mettre à genou et s’est mis à me lécher l’anus. Quelle sensation incroyable !!! Jamais m’on mari me l’avait fait ça ! Il me pénétrait la chatte avec son pouce en même temps, un doigt me titillait le clito. Une onde de choc de plaisir encore plus forte montait en moi… J’ai du mal à l’expliquer… J’allais jouir… Il l’a compris. Il s’est mis bien en place et m’a fourré sa bite dans mon petit trou lubrifié par mon foutre et sa salive. D’ailleurs, mon petit trou ne l’était plus tant que ça… car il était dilaté. Il y a mis d’abord son gland avant d’y allait doucement de plus en plus profond… Il savait y faire. Mon mari continuait à me rouler les tétons avec ses doigts par en dessous, même s’il avait tout lâché, il essayait de participer, et j’avoue que les seins, la chatte, le cul en feu, du sperme étalé sur mes seins et mon ventre, tout cela en même temps faisait monter la jouissance comme la lave dans un volcan prêt à exploser. C’est ce qui s’est passé… J’ai crié… fort, d’un plaisir rarement ressenti. Oui. Un orgasme qui durait incroyablement, je continuais de crier de plaisir. Ce gars-là savait manier sa queue dans mon cul. J’avais l’impression d’avoir toute la colonne vertébrale qui vibrait. Je jouissais encore quand il a sorti sa bite et a tout lâché entre mes fesses. J’ai eu un dernier souffle de plaisir intense avant de m’écrouler.
Mon mari s’est allongé à côté de moi. Il s’est mis à m’embrasser goulument et à me toucher la chatte et mon cul mouillés, mes seins… Je me suis laissé faire, c’était bon, il était en train de s’exciter de nouveau, mais sa bite apparemment refusait de se remettre en action. Ouf ! L’autre regardait. Je me suis endormie un moment, pleine de rêves cochons… Car ce n’était pas fini.

En fait, ce qui s’est passé ce soir-là, c’est qu’on avait pas mal bu pendant la soirée, on avait même beaucoup bu quand j’y repense. Ce n’est pas une excuse, mais bon, faut que je raconte, comme j’ai un peu honte… c’est comme avouer ses péchés… on se sent mieux après.
Bref, je suis sorti de table pour m’étaler dans le canapé. Mon mari avait amené un type (qui est une relation d’affaire) à prendre un apéro dinatoire, celui-ci n’avait pas arrêté de mater mes seins. Faut dire que le tissu de ma petite robe laisse bien entrevoir les tétons qui pointent toujours chez moi, comme ça peut se contempler sur une photo d’une de mes contributions. D’un seul coup il a dit : « Si tu continues à me montrer ta culotte comme ça… les boutons de mon jeans vont sauter ! » Ce n’était pas tout à fait innocent de ma part ; j’avais écarté les jambes sous ma robe courte pour aérer l’entrecuisse moite, le fait qu’on me mate les seins si avidement m’avait légèrement excité. Mon mari qui n’en rate pas une a plaisanté : « Je croyais que le port de la culotte était interdit à la maison. » Prise au jeu, je l’ai enlevée en riant. Le type s’est mis debout. « Bon… Ben maintenant montre-nous ce qui y avait sous la culotte ! » J’ai relevé ma robe sur mon ventre. J’ai fermé les jambes, mais d’avoir mon pubis à l’aire et de me savoir observée m’a donné comme un frisson le long de la colonne vertébrale. Mon mari s’est aperçu de mon excitation je crois, car il s’est levé aussi. Vu son regard ennuyé, il semblait regretter sa plaisanterie (mais bon c’est lui qui m’avait provoqué !)
Finalement, ils se sont mis à rire tous les deux, comme s’ils avaient passé un accord. Le type fixait le triangle de mon mont de vénus coupé court. Soudain il a dit avec une voix un peu éméché. « Faisons un jeu… Et si… on se masturbait ton mari et moi en te regardant toi aussi te masturber, hein ? Après tout… on se touche pas, comme ça on pourra pas dire qu’elle t’aura trompé », qu’il dit en se tournant vers mon mari qui se met à rigoler bêtement. « Le dernier qui joui a gagné ! D’accord ? », ajoute-t-il. On s’est regardé avec mon mari… Pourquoi pas ! disaient nos regards. Ni une ni deux, le type a soudain sorti sa bite. On s’est regardé avec mon mari qui ne savait plus trop quoi faire. Elle n’était pas très grande, plutôt trapue je dirais. Du coup, mon mari a sorti la sienne. Même au repos, elle est toujours impressionnante je dois dire.
Sans vraiment m’en rendre compte, j’ai commencé à me caresser la fente à voir les deux queues. Ils se sont mis à bien bander et à se branler sérieusement. Le type a ajouté : « Écarte bien les cuisses please ! » Je me suis exécutée. J’ai sentie l’air sur ma chatte, et surtout les regards, un autre frisson m’a envahi… Je suis fier de mon sexe légèrement gonflée, un abricot juteux aime à dire mon mari (vous pouvez le voir sur les photos d’une de mes contributions là aussi) qui avait commencé d’ailleurs à prendre des photos, que vous pouvez voir ici. (Mais ça n’a pas duré longtemps : c’était soit les photos, soit se branler, il a choisi…). J’ai commencé à pénétrer ma fente avec deux doigts. Ils se sont rapprochés tout les deux. Le type s’est mis à genou bien devant ma chatte et m’a dit « montre tes seins et fait voir ta vulve ! » J’ai écarté ma fente et introduit un doigt entre les lèvres qui apparemment restées ouvertes à souhait vu les yeux du gars. Puis, j’ai baissé les bretelles de la robe. Les bouts de mes seins étaient tendus. De les voir tous les deux se masturber m’excitait beaucoup, j’avais les tétons qui bandaient vraiment dur maintenant, et je sentais ma chatte mouillée, je crois que les deux gars s’en apercevaient, mon mari s’était arrêté de se masturber, je le connais, il allait tout lâcher. Il est venu à côté de moi, la bite au dessus de ma tête et prenait quelques photos. L’autre continuait à se toucher la bite tranquillement. Je m’étais allongée sur le dos, la tête sur un coussin. Le type matait ma chatte et mes seins comme un malade. Je me doigtais le vagin, ça me coulait entre les cuisses, entre les fesses. Je crois que c’est ça qui l’a incité… Car j’ai senti un doigt qui me rentrait dans le cul pendant que mon mari s’était mis à m’embrasser, m’explorant la bouche avec sa langue. Mon foutre avait lubrifié mon petit trou mis en évidence vu que j’avais replié mes jambes et que je soulevais parfois mes hanches en me cabrant de plaisir. Mais ce doigt dans le cul m’a fait comme une onde de choc dans le cerveau. Mon mari lui, n’a rien trouvé d’autre que de me mettre son gland à la place de sa langue dans ma bouche. Je l’ai sucé… Je n’étais pas loin de jouir avec un doigt enfoncé jusqu’à la garde dans l’anus et une bite qui allait tout lâcher dans ma bouche.
Puis, le gars a enlevé son doigt de mon cul, il m’a retiré les mains, et là j’ai senti la chaleur de sa queue qui me pénétrait doucement… Mon mari lui, s’est vite retiré de ma bouche et a soudain tout lâché sur mes seins, il s’est mis à les malaxer en étalant son foutre tout en faisant sortir les dernières goutes de son sperme avec l’autre main…
Le type me pénétrait de plus en plus rapidement et profond… Puis d’un seul coup il s’est retiré, sa bite pointait vers le plafond… Il m’a retournée, m’a obligée à me mettre à genou et s’est mis à me lécher l’anus. Quelle sensation incroyable !!! Jamais m’on mari me l’avait fait ça ! Il me pénétrait la chatte avec son pouce en même temps, un doigt me titillait le clito. Une onde de choc de plaisir encore plus forte montait en moi… J’ai du mal à l’expliquer… J’allais jouir… Il l’a compris. Il s’est mis bien en place et m’a fourré sa bite dans mon petit trou lubrifié par mon foutre et sa salive. D’ailleurs, mon petit trou ne l’était plus tant que ça… car il était dilaté. Il y a mis d’abord son gland avant d’y allait doucement de plus en plus profond… Il savait y faire. Mon mari continuait à me rouler les tétons avec ses doigts par en dessous, même s’il avait tout lâché, il essayait de participer, et j’avoue que les seins, la chatte, le cul en feu, du sperme étalé sur mes seins et mon ventre, tout cela en même temps faisait monter la jouissance comme la lave dans un volcan prêt à exploser. C’est ce qui s’est passé… J’ai crié… fort, d’un plaisir rarement ressenti. Oui. Un orgasme qui durait incroyablement, je continuais de crier de plaisir. Ce gars-là savait manier sa queue dans mon cul. J’avais l’impression d’avoir toute la colonne vertébrale qui vibrait. Je jouissais encore quand il a sorti sa bite et a tout lâché entre mes fesses. J’ai eu un dernier souffle de plaisir intense avant de m’écrouler.
Mon mari s’est allongé à côté de moi. Il s’est mis à m’embrasser goulument et à me toucher la chatte et mon cul mouillés, mes seins… Je me suis laissé faire, c’était bon, il était en train de s’exciter de nouveau, mais sa bite apparemment refusait de se remettre en action. Ouf ! L’autre regardait. Je me suis endormie un moment, pleine de rêves cochons… Car ce n’était pas fini.

Je vais avouer ce qui m’est arrivé. On était dans la maison d’un ami. Il était tard et tout le monde était bourré et s’était endormi dans la maison. Moi j’étais resté dans le jardin seule. Enfin je croyais… Le propriétaire de la maison s’est approché, on a parlé un moment et je voyais bien qu’il reluquait mes seins que mon tee shirt moulait. Faut dire que j’aime bien quand on les voit pointer. D’un seul coup il m’a demandé s’il pouvait les toucher. J’ai rigolé. Mais il avait déjà les mains dessus. J’ai un peu sursauté quand il s’est mis à jouer avec mes tétons qui se sont durcis rapidement. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai caressé sa queue à travers son short. Il bandait comme un taureau déjà. On est resté un moment comment ça à déguster ce moment. Moi je commençais à mouiller sérieusement. Il m’a demandé de m’allonger sur le dos sur la table du jardin. Il a sorti sa queue qui pointait, m’a relevé le tee shirt au dessus des seins les a malaxé un moment avant de relever ma jupe et caressé ma chatte par-dessus ma culotte. Il a approché sa queue de ma tète qu’il a tourné vers sa queue et frotté son gland contre mes lèvre. J’ai ouvert la bouche. D’un mouvement de hanche il s’est mis à baiser à pénétrer ma bouche. Il a baissé ma culotte et regardé ma chatte un long moment en l’écartant. Je mouillé plus… c’était un torrent. Il m’a frotté le clito avec le pouce et rentré deux doit dans la chatte. Ça a duré un moment comme ça, je me retenais de jouir et lui n’allait pas duré longtemps sans tout laché dans ma bouche. Ce qui a tout déclanché c’est quand il a commencé à doigter mon anus. Il y a rentré un doigt tandis que son pouce pénétrait ma chatte avec un mouvement de va et vient de plus en plus rapide et fort- Les doigts de l’autre main roulait mes tétons qui bandaient… Là j’ai joui… fort… et lui a tout lâché dans ma bouche. Mais mon mari avait tout vu. Son pote s’est excusé (on se connait bien et on sait comment on est). Je me suis mis debout. Mon mari m’a touché la chatte. De la sentir mouillé il a sorti sa queue, il bandait déjà. Il m’a retourné, m’a penché sur la table et pénétré ma chatte par derrière. Ça n’a pas duré longtemps…. Il a tout lâché pendant que son pote nous regardait. J’ai un peu honte de le raconter. Mais j’avoue que son pote m’a fait jouir comme rarement j’ai joui. Vivement qu’on revienne.

Un fan d’ici l’autre jour dont je tairais le nom m’a suggéré d’aller sans culotte à une soirée qui était prévue le soir même chez des collègues du boulot. J’avais une jupe assez courte. Dès le début de la soirée rien que l’air qui passé entre mes cuisses m’exilait. Ça a commencé par mes tétons qui se sont mis a durcir. Evidement ça s’est vu et j’ai très vite eu autour de mois des hommes entreprenant qui m’ont petit à petit dirigeaient vers la buanderie. L’un d’eux était le propriétaire de la maison. J’avoue que j’avais déjà la chatte un peu humide, ce qui fait que quand l’un d’eux m’a mis la main sous la jupe et m’a caressé la vulve j’étais trempée. L’autre était derrière moi et me malaxait les seins. J’étais déjà prête à jouir, j’adore ce genre de situation. Mais quand sa main est descendue vers mes fesses et qu’il a introduit un doigt dans mon cul pendant que l’autre me doigtait la chatte tout en me suçant les tétons, que je branlais l’un d’eux, et que l’autre me pressait sa queue contre mes hanches, là… j’ai fait fontaine et j’ai joui comme jamais. Je l’ai sucé l’un après l’autre. Un m’a tout lâché dans la bouche et l’autre à voulu éjaculer sur ma chatte. Il l’a malaxée de nouveau en étalant son sperme et j’ai encore joui. Incroyable ! Bonne idée cette soirée sans culotte. Je raconte ça parce que m’excite de le partager. D’autres idées.