Dans la Ville Rose, que ce soit au printemps, en été ou bien à l’automne, en hiver, il n’est pas rare de faire de gaies rencontres ! Étudiante, chantante et chaleureuse, Toulouse est aussi une des villes les plus ouvertes à toutes les sexualités et à tous les égarements, comme en témoigne le récit qui suit.
Alors que je venais de faire quelques courses dans un centre commercial du centre-ville, dont je tairai le nom (celui du martyr chrétien célèbre pour avoir terrassé un dragon), je me rends aux toilettes. Toilettes publiques connues pour être un lieu de drague assez fréquenté où l’on mate, l’on montre et parfois plus encore. Quand j’arrive il y a déjà un autre homme au niveau des urinoirs, je me mets cependant (ou plutôt justement) à côté de lui et comprends très vite qu’il est venu ici pour satisfaire d’autres besoins que celui d’uriner.
Je me penche un peu pour voir son sexe et là, merveille, je me rends compte qu’il a un superbe phallus bien épais, veiné, large, avec un gros gland décalotté et déjà luisant ! Rien que la vue de ce membre imposant me fait intensément durcir, il le remarque et commence à reluquer à son tour mon sexe. Très vite, on se prend en main l’un l’autre et je commence à saliver à la seule idée de glisser son beau prépuce entre mes lèvres et de laisser aller et venir son sexe dans ma gorge.
Alors que l’excitation montait rapidement et que l’on se masturbait ostensiblement, un inconnu soudain surgit qui nous coupe dans notre élan. J’invite donc d’un signe de tête mon éphémère partenaire à me suivre, ce qu’il fait aussitôt ; on quitte vite les latrines pour se diriger vers l’escalier du parking voisin où je savais que l’on pourrait être plus tranquille.
Le dos collé contre la porte pour éviter toute interruption trop brusque, je me mets à genoux afin de célébrer comme il se doit la magnificence de ce sceptre de chair dont j’avais eu un peu plus haut un avant-goût. J’enfouis son sexe entier dans ma bouche et commence le travail. Après quelques minutes de ce traitement, l’excitation et le plaisir se faisant si pressants, il n’a pas tardé à m’exprimer sa gratitude en tapissant ma gorge de son onctueux et soyeux nectar !
J’ai remonté l’escalier, quitté les lieux et marché jusqu’à la station Jean Jaurès la bouche pleine de ce délicieux breuvage…