Je suis un homme marié, la quarantaine, et je passe des vacances ennuyeuses avec ma petite famille sur une plage brûlante des Landes. Ma femme est en train de bronzer et les enfants batifolent dans l’eau et autour des filles et garçons de leur âge.
La chaleur était telle que cela me “tapait” sur la tête et le système. La vue de tous ces corps à moitié nus et ses filles se massant le corps à coup de crème solaire, m’excitait au plus haut point et je rêvais que mes mains puissent prendre le relais. Sur leurs jambes, leur dos, leur bras et même leur poitrine découverte… J’en étais malade et je commençais à “bander” dur, à tel point que je trouvais une astuce imparable pour ne pas laisser apparaître la déformation indécente de mon short. Je creusais un petit trou dans le sable, j’y allongeais mon drap de bains en prenant soin d’enfoncer le tissus dans le trou et m’y allongeais dessus, juste à l’endroit où mes parties génitales pouvaient se soulager sans me gêner dans cette cavité, tout en matant du coin de l’oeil ces petites coquines faisant semblant que personne les remarquaient.
N’y tenant plus à rester allongé avec cette chaleur abrutissante et mon pénis gonflé qui commençait à me faire mal… Je décidais de quitter la plage ses dunes et m’enfoncer dans la vaste forêt de pins . La marche me soulageât et la fraîcheur de l’ombre me soulageait. Les criquets sifflaient et l’odeur de la fougère fraîche me faisait du bien… Je marchais à travers les fougères qui faisaient bien plus d’un mètre de haut et je sentis que je me perdais, plus de chemins , pas de traces humaines alors je commençais à paniquer quand je devinais des voix humaines. Je prenais l’oreille et distinguais de plus en plus près les voix, une femme et un homme mais des rires provenant d’un autre homme se faisaient de plus en plus précis. Mon coeur se mit à battre plus fort, et prudemment je m’approchais d’un petit vallon, un creux entre deux dunes et me mit à plat ventre pour m’approcher de ces voix sans me faire remarquer.
Je me rapprochais en écartant les fougères. Elles étaient si hautes que j’avais l’espoir de passer inaperçu et me cacher si j’arrivai trop près près de ces personnes sans me faire remarquer.
Puis les bruits étaient devenus très proches
J’arrivais au sommet d’une dune cachée par les fougères et à quatre pattes, j’aperçus deux jeunes hommes et une femme dans sa quarantaine. Je m’approchais tout près derrière le sable et à l’abri. Ils étaient à 6 mètres environ et put entendre tout sans me faire remarquer. Je m’allongeais sur le ventre à même le sable. Ils étaient cachés au fond d’une dune à l’abri. ….. (Suite au prochain chapitre…)
