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Club privé de Doucoquin

Littérature érotique
26 juillet 2018

Tu es debout dans ta cuisine, j’arrive derrière toi et pose mes mains sur tes hanches, ma bouche dépose un baiser dans ton cou puis glisse sur ta nuque, tu incline la tête en avant pour me laisser goûter à ta peau. Je respire ton parfum , je sens ta chaleur et ton trouble qui répond au mien. Mes mains glissent sous ton pull et leur contact sur ta peau te fait frissonner. Je caresse tes hanches, ton ventre, ta peau est délicieusement douce, mes mains remontent et s’arrêtent sous l’arrondi de tes seins, après une légère hésitation je les prends dans le creux de mes paumes et je sens tes tétons qui durcissent doucement dans leur écrin de dentelle. J’ai tellement envie de toi que plus rien n’existe autour de nous, je te murmure à l’oreille que tu me rends fou de désir et je vois un petit sourire coquin sur tes lèvres. Je reviens dans ton dos pour dégrafer ton soutien gorge mais mes mains tremblent d’impatience. Quand l’agrafe cède enfin je glisse mes mains sous tes adorables seins ronds et les libèrent en faisant glisser les bonnets vers le haut. J’en profite pour frôler tes petits tétons tout roses qui sont maintenant très durs et se tendent vers mes caresses. Tu pousse un gémissement et tu penche ta tête en arrière à la recherche de ma bouche, nos yeux se rencontrent , je ne sais lesquels des tiens ou des miens brillent le plus. Je pose délicatement mes lèvres sur les tiennes pour un baiser très tendre vite emporté par la passion alors notre baiser devient violent, nos langues se mélangent, nous nous embrassons à pleine bouche et à perdre haleine. Tu as fermé les yeux et mes mains pétrissent ta poitrine en pinçant tes tétons et en les faisant rouler entre mes doigts. Je me colle contre toi et tu t’es rendu compte de l’état où tu me mets car tu ondule du bassin en te frottant contre mon érection. Tu glisse une main entre nous et me saisi à travers mon pantalon , mon sexe est tendu au maximum. Je tire ton pull pour l’enlever en te faisant lever les bras, je le jette sur une chaise et avant que tu puisse les baisser je caresse tes bras et tes aisselles. En te cambrant en arrière tu accroches tes mains derrière ma tête et tu reste ainsi, offerte à mes mains qui reprennent possession de tes seins , de ton ventre, l’une d’elles se glisse sous la ceinture de ton pantalon, la détache, baisse ta fermeture puis en glissant dans ta culotte vient jouer avec la délicieuse toison qui orne le bas de ton ventre. Je te retourne face à moi, nos yeux expriment la même envie, le même désir, avec un petit sourire je frôle tes lèvres avec ma langue, tu les entrouvres et ta langue vient jouer avec la mienne. Ma bouche descend dans ton cou, sur tes épaules en traçant un petit chemin qui s’approche de tes délicieux seins. J’écarte un peu mon visage pour t’admirer tu es superbe avec tes cheveux ébouriffés, tes joues rougies par le désir et tes seins offerts tendus vers moi. Tu n’y tiens plus, ta main m’attire vers ta poitrine que tu rehausse en tendant les épaules en arrière. Ma bouche s’approche doucement et de la pointe de ma langue je dessine un rond humide autour de tes mamelons puis je les lèches avec délice avant de les aspirer entre mes lèvres et de les téter goulûment , tu gémis doucement en me disant: « continu, manges les c’est bon ». Ils sont délicieux et me rendent fou. J’ai envie de te découvrir enfin toute nue et en continuant de dévorer ta poitrine je baisse maladroitement ton pantalon et ta culotte ensemble. Tu viens à mon secours et fini de te déshabiller devant mes yeux éblouis. Tu es superbe, très attirante, un peu ronde, ton corps porte les traces de ta vie, des années passées mais ça te rend encore plus troublante, encore plus désirable. Mes vêtements vont rapidement rejoindre les tiens et nous sommes là, à un mètre l’un de l’autre , nus tous les deux, sans fausse pudeur à regarder et découvrir ce que nous allons nous donner. Je m’approche de toi et ouvre mes bras où tu viens te blottir nos bouches s’unissent à nouveau, je te soulève du sol et t’assois sur la table. Je m’agenouille devant toi, embrasse tes genoux, les écarte doucement en déposant des baisers sur l’intérieur de tes cuisses. Ton visage est devenu grave dans l’attente de la caresse que tu désires et attends avec impatience. Je regarde avec gourmandise ta jolie fleur d’amour qui s’entrouvre toute seule et d’où perle une délicieuse rosée. Je soulève une de tes jambes et la pose sur mon épaule. Je couvre l’intérieur de tes cuisses de bisous jusqu’au petit pli de l’aine. Ta douce toison chatouille mon nez et je découvre ton délicieux parfum le plus intime, il me grise et accentue encore mon envie de toi. Ma langue suit le contour de tes lèvres puis découvre la source d’où coule doucement ce nectar que je déguste maintenant avec délice. J’adore le goût de ton désir, légèrement salé et tellement excitant. J’ai envie de te boire jusqu’à plus soif, jusqu’à te faire basculer dans le plaisir. Ma bouche remonte vers ce petit bouton d’amour que je dégage de son repli de chair avec la pointe de ma langue. Tu gémis maintenant en continu et ta respiration est devenue haletante. Quel plaisir pour moi de te voir emportée, à la merci de ton plaisir que tu m’offre sans retenue. Mes lèvres aspirent doucement ce petit bouton magique qui est lui aussi tout dur et sort de sa cachette à la recherche de ma bouche. Je le suce doucement pendant qu’un de mes doigts viens se glisser entre tes lèvres et glisse tout seul au fond de toi. Tu tends le ventre en avant, ta respiration s’est encore accélérée et je sens monter ton plaisir. Un deuxième doigt a rejoint le premier, ils entrent et sortent de plus en plus vite de ton antre secrète et je continue de sucer et pincer entre mes lèvres ton délicieux petit clito, je sais que tu vas bientôt être emportée par ton plaisir, j’en ai envie, fais moi ce magnifique cadeau. Soudain tes jambes se mettent à trembler, tu agrippes mes cheveux et écrase mon visage contre ton sexe et dans un cri rauque tu me donne ta jouissance et ton plaisir inonde ma bouche, je te bois jusqu’à la dernière goutte alors que ton ventre et secoué de spasmes qui se suivent et semblent ne plus pouvoir s’arrêter. Je laisse se calmer l’orage qui t’a emportée avec au fond de moi cette joie immense de t’avoir donner ce plaisir. Quand au bout de quelques minutes tu libères ma tête, je me lève et dans un nouveau baiser te fais découvrir le goût de ton plaisir que j’aime tant. Mon sexe est toujours aussi dur. En me regardant dans les yeux tu me dis: « viens prends moi, je veux te sentir au fond de moi, viens mélanger ton plaisir au mien ». Je m’approche entre tes jambes et en tenant mon sexe à la main je caresse le tien avec, je dépose la petite goutte qui perle au bout sur ton clito et les frottes l’un sur l’autre, je caresse tes lèvres, les écarte, reviens sur ton clito, humm c’est bon mais je n’y tiens plus. Je pose mon gland tout rouge à l’entrée de ton intimité et presque sans pousser je te pénètre de toute ma longueur, tu es trempée et brûlante, je reste là, immobile, au fond de ton ventre, les yeux dans les yeux. Par quelques contractions intimes tu me dis ce que tes yeux expriment et je te réponds de la même façon, sans parler. Au bout de quelques minutes à rester ainsi, ne faisant plus qu’un, je bouge doucement en toi mais sans sortir. C’est tellement bon que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Je me retire doucement et commence un lent mouvement de vas et viens. Je m’arrête alors que mon sexe et presque entièrement sorti de toi, reste immobile un instant et te reprends d’un seul coup de reins un peu plus rapide en essayant d’aller le plus loin possible en toi. Je refais ce mouvement plusieurs fois en te pénétrant à chaque fois un peu plus fort. Nous gémissons tous les deux en chœur. Je ne peux plus retenir la bête qui est en moi et me laisse aller en accélérant mon rythme, je te pénètre maintenant à grand coups de reins, tes mains sont posées sur mes épaules et tu enfonce tes ongles dans ma peau, ton bassin vient à la rencontre de mon sexe qui te malmène. Nous nous laissons emporter par ce mouvement qui est devenu indépendant de notre volonté, je sens monter au fond de moi un plaisir qui emporte tout sur son passage et dans un cri je me fige au plus profond de ton sexe, je t’inonde de ma jouissance qui jaillie de moi en jets puissants, mon corps tout entier est secoué de soubresauts et en serrant tes jambes autour de mes hanches tu me rejoins, portée par une nouvelle vague délicieuse. Nous restons là, les yeux dans les yeux, emportés ensemble par le plaisir, loin des soucis et des douleurs de la vie, un sourire de bien être sur nos visages.