Fallait que je le fasse !
Beaucoup le savent ici. J’aime la sodomie. Le seul problème c’est que mon mari… pas trop ; c’est pas son truc. C’est pas grave, on s’arrange, et puis il a d’autres atouts. Hummm !!! Du coup, dernièrement on est passé par un site coquin pour trouver près de chez nous quelqu’un qui pourrait nous aider… enfin surtout pour moi.
Beaucoup de réponses. On en a sélectionné un. RDV dans le bar de l’hôtel où on a loué une chambre. Type avenant… mais surtout très entreprenant. Bref. On était au bout du comptoir dans un coin discret, à l’écart des quelques personnes qui prenaient l’apéro à cette heure-là. Notre ami est allé droit au but : « Bon… Je peux avoir un avant goût ? Je peux y mettre ma main ? », dit-il en posant son regard sur ma jupe. Je me rappelle avoir dit : « On est là pour ça ! » en rigolant. Il a regardé mon mari qui a acquiescé avec un « Je t’en prie ! ». Ni une ni deux, le gars passe la main sous ma jupe entre mes jambes en commençant à caresser ma chatte par-dessus la culotte. J’ai légèrement sursauté mais très vite le fait de me faire peloter dans un bar me réveillait la libido. « Clitoridienne ou vaginale ? », « Les deux » j’ai répondu en rigolant. Il a fouillé ma fente à travers ma culotte en soie qui donne une sensation de seconde peau et trouvé rapidement mon petit bouton avec lequel il s’est mis à jouer. J’ai rapidement commencé à mouiller. Il a passé sa main dans la culotte pour vérifier, j’ai supposé, une fois fait il a immiscé un doigt dans ma fente. Là j’ai commencé à sentir une chaleur en bas du ventre. Mon marie buvait son verre en vérifiant que personne dans le bar ne se rendait compte de rien.
On a abrégé notre apéro et rejoins l’ascenseur où le type a mis sa main sur mes fesses par-dessous la jupe il l’a fourra une fois de plus dans la culotte, il faisait glisser un doigt dans la raie à la recherche de mon petit trou. Il le trouva. Il jouait avec… Ma colonne vertébrale s’était mise à frémir. J’avais envie qu’il y mette son doigt ! Mon marie regardait amusé semble-t-il.
On est sortis de l’ascenseur et retrouvés dans la chambre. Derrière moi, à peine la porte fermée, il m’a entouré de ses bras, ses mains malaxaient mes seins et jouaient avec mes tétons un moment. Je glissais une main derrière pour trouver sa queue gonflé dans son pantalon. Il m’a fait comprendre ce qu’il voulait ; je me suis retournée, accroupie. Il avait déjà sorti sa queue. Pas énorme, mais bien raide et gonflée. Sans la toucher de mes mains, je l’ai mis directement dans ma bouche, tenant ses hanches. Mesdames ! Vous le savez toutes ! Quand on fait ça bien, c’est gagné ! Il m’a arrêté avant d’éjaculer, je sentais qu’il allait venir, fallait que je me calme. Il m’a fait remettre debout, relevé mon petit haut noir au dessus de ma poitrine et s’est mis à les prendre à pleine main en me suçant les bout l’un après l’autre. Là, il y a eu un flash. Mon mari venait de prendre une photo (c’est la première plus bas). Je branlais la queue du type doucement pendant qu’il délirait sur mes seins. Je commençais vraiment à être excitée ! Soudain, il m’a descendu ma jupe, ma culotte, enlevé mon haut. J’étais à poil. À genoux, ll malaxait voluptueusement ma chatte, en lui donnant des petits coups de langue de temps en temps. Je me rappelle qu’il a dit qu’elle était gonflée à souhait, comme un abricot. Mon mari le dit souvent aussi, il m’a regardé un peu jaloux de partager son expression favorite. Par contre il me partage sans problème le saligaud !!! Et tant mieux pour moi. Le type s’est remis debout, les mains sur mon cul, un doigt flirtait avec mon anus, tout ça en m’embrassant goulument. Je me suis à mouiller sérieusement. Il m’a fait m’allonger le dos sur le lit, m’a soulevé une jambe et s’est mis à me lécher la chatte. Mon mari a pris une autre photo. Bon, c’est lui qui gère ça, j’ai pas mon mot à dire au moment de les publier… Il y en a que j’aimerais qu’il mette et d’autres pas… Mais bon. C’est le deal !
Le gars léchait mon anus maintenant tout en me doigt la chatte et le pouce qui roulait mon clito. Il savait y faire ! Un pro ! Là j’ai vraiment failli jouir. Il s’en est aperçu. Il a sorti une boite de son pantalon avant de l’enlever et mis sur ses mains une espèce de crème qui sentait la noix de coco. Il m’en mettait partout sur le corps. Il s’attardait sur mes seins, ma chatte et enfin entre mes fesses, en me retournant, jusqu’à asperger mon anus de cette crème. Si j’avais été une jeune fille, j’aurais déjà joui. Mais je résistais (plus si jeune que ça !), difficilement, mais je résistais. Puis, il m’a fait mettre à plat ventre sur le lit en remontant mon cul. Il m’a pénétré très facilement la chatte, assez brusquement, mais ça ne me déplaisait pas, et puis celle de mon mari doit forcer un peu plus pour rentrer vu sa taille, alors il m’en faut beaucoup plus pour m’apeurer. Par contre dans mon petit trou elle allait être parfaite j’imaginais. J’attendais ce moment avec impatience. J’étais venu là pour ça… entre autres ! Pendant qu’il pénétrait ma chatte en feu, il commençait à lubrifier mon anus. Le plaisir me montait à la tête par vagues successives de plus en plus fortes. J’ADORE ce moment là. Il le comprit… c’était le moment, j’en pouvais plus. Il a sorti sa bite de ma chatte, et rentré son gland dans mon petit trou. Quelle sensation !!! Il a commencé doucement un va-et-vient, longtemps, et de plus en plus rapidement, profond. Il a commencé à pénétrer plus fort en me mettant des tapes sur les fesses… Qu’est-ce qu’est c’est bon ! Mon mari c’était mis à côté de moi, il me roulait les tétons, m’embrasser… Le gars s’est redressé et a donné des derniers coups de reins, il craquait, il éjaculait… JE JOUISSAIS… FORT… TRÈ FORT. Une sensation rarement éprouvée. Tu m’étonnes !!!
Et puis le gars est parti. Comme ça ! Je m’étais rhabillée. Mais mon mari ne l’entendait pas ainsi. Il me fit m’assoir, me baissa mon haut par-dessous les seins et me demanda de le masturber. Je me suis exécutée. Je savais ce qu’il voulait. Il a rapidement tout lâché sur mes seins. Il a pris une dernière photo le cochon. Elle est en bas…
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