Avouer ses péchés… suite.

Publié le 29 Nov 2021

Je m’étais réveillé au petit matin. L’invité dormait dans l’autre canapé. Mon mari devait être dans notre chambre. J’ai pris une douche, mis ma robe de chambre de soie noire et suis sortie de la salle de bain. L’invité était debout dans le salon. « Je m’en vais », qu’il me dit. Je lui propose de l’accompagner, on passe par le garage et d’un seul coup il me met contre le capot de la voiture et m’embrasse en me fouillant la bouche avec sa langue. Sa main est déjà sous ma robe de chambre à me malaxer le minou. Je me suis laissée faire, je ne sais pas pourquoi. Enfin, si… Le souvenir de ce qu’il m’avait fait la veille ravive ma libido. Ses doigts fouillent ma fente qui est déjà humide. Il arrête de m’embrasser et d’une main il me descend les bretelles de ma robe. Il se met à me manger littéralement les seins. L’autre main malaxe mes fesses, un doigt me titillant l’anus. Il recommence à m’embrasser. Là le désir monte comme un tsunami. Je tâte son pantalon, sa queue veut sortir, la braguette est tendue. Je l’ouvre, sa queue jaillit. Je la branle. D’un seul coup il me prend par les hanches, m’assoit sur le capot de la voiture de mon mari, m’écarte les jambes et matte ma chatte en se masturbant. Il la touche, l’écarte avec deux doigts, s’approche et me pénètre facilement, je suis trempée. Il fait des grands va-et-vient la bite sortant et entrant avec un bruit de succion. Et d’un seul coup il l’enfonce, reste appuyé contre moi en bougeant ses hanches. Je me retiens de jouir… Puis il sort sa queue, me fait mettre à genoux pour que je le suce. Je commence… et là, un flash. Mon mari est à la porte du garage et vient de prendre la photo que vous voyez. L’invité est d’abord surpris. Mon mari se met à rire, lui aussi. Ils se sont compris apparemment… Avec sa main il me pousse la tête vers sa queue. Je le suce. Il éjacule rapidement. J’en ai plein la bouche. Il rentre sa queue. Nous dit au revoir et s’en va comme si de rien. Je m’étais mise debout. Mon mari s’est approché et m’a touché la chatte. « T’as mouillé comme une bonne grosse salope », qu’il me dit. Il me retourne la tête sur le capot, le cul en arrière et avec ses doigt m’étale le foutre jusqu’à mon anus. Il avait sorti sa queue. Il me met juste le gland un moment dans mon cul avant d’enfoncer sa bite de plus en plus profond en me malaxant les seins, en triturant mes tétons. Je n’avais pas encore joui, mais là je n’en pouvais plus. Il a tout lâché dans mon cul, j’avais encore du sperme de l’invité que me coulait des lèvres. J’ai joui. Fort.
Puis on est allé se coucher de nouveau… tranquillement. Ma belle chatte en forme d’abricot bien juteuse… Mon mari le vérifiait de temps en temps.

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