Avouer ses péchés

Publié le 11 Nov 2021

En fait, ce qui s’est passé ce soir-là, c’est qu’on avait pas mal bu pendant la soirée, on avait même beaucoup bu quand j’y repense. Ce n’est pas une excuse, mais bon, faut que je raconte, comme j’ai un peu honte… c’est comme avouer ses péchés… on se sent mieux après.
Bref, je suis sorti de table pour m’étaler dans le canapé. Mon mari avait amené un type (qui est une relation d’affaire) à prendre un apéro dinatoire, celui-ci n’avait pas arrêté de mater mes seins. Faut dire que le tissu de ma petite robe laisse bien entrevoir les tétons qui pointent toujours chez moi, comme ça peut se contempler sur une photo d’une de mes contributions. D’un seul coup il a dit : « Si tu continues à me montrer ta culotte comme ça… les boutons de mon jeans vont sauter ! » Ce n’était pas tout à fait innocent de ma part ; j’avais écarté les jambes sous ma robe courte pour aérer l’entrecuisse moite, le fait qu’on me mate les seins si avidement m’avait légèrement excité. Mon mari qui n’en rate pas une a plaisanté : « Je croyais que le port de la culotte était interdit à la maison. » Prise au jeu, je l’ai enlevée en riant. Le type s’est mis debout. « Bon… Ben maintenant montre-nous ce qui y avait sous la culotte ! » J’ai relevé ma robe sur mon ventre. J’ai fermé les jambes, mais d’avoir mon pubis à l’aire et de me savoir observée m’a donné comme un frisson le long de la colonne vertébrale. Mon mari s’est aperçu de mon excitation je crois, car il s’est levé aussi. Vu son regard ennuyé, il semblait regretter sa plaisanterie (mais bon c’est lui qui m’avait provoqué !)
Finalement, ils se sont mis à rire tous les deux, comme s’ils avaient passé un accord. Le type fixait le triangle de mon mont de vénus coupé court. Soudain il a dit avec une voix un peu éméché. « Faisons un jeu… Et si… on se masturbait ton mari et moi en te regardant toi aussi te masturber, hein ? Après tout… on se touche pas, comme ça on pourra pas dire qu’elle t’aura trompé », qu’il dit en se tournant vers mon mari qui se met à rigoler bêtement. « Le dernier qui joui a gagné ! D’accord ? », ajoute-t-il. On s’est regardé avec mon mari… Pourquoi pas ! disaient nos regards. Ni une ni deux, le type a soudain sorti sa bite. On s’est regardé avec mon mari qui ne savait plus trop quoi faire. Elle n’était pas très grande, plutôt trapue je dirais. Du coup, mon mari a sorti la sienne. Même au repos, elle est toujours impressionnante je dois dire.
Sans vraiment m’en rendre compte, j’ai commencé à me caresser la fente à voir les deux queues. Ils se sont mis à bien bander et à se branler sérieusement. Le type a ajouté : « Écarte bien les cuisses please ! » Je me suis exécutée. J’ai sentie l’air sur ma chatte, et surtout les regards, un autre frisson m’a envahi… Je suis fier de mon sexe légèrement gonflée, un abricot juteux aime à dire mon mari (vous pouvez le voir sur les photos d’une de mes contributions là aussi) qui avait commencé d’ailleurs à prendre des photos, que vous pouvez voir ici. (Mais ça n’a pas duré longtemps : c’était soit les photos, soit se branler, il a choisi…). J’ai commencé à pénétrer ma fente avec deux doigts. Ils se sont rapprochés tout les deux. Le type s’est mis à genou bien devant ma chatte et m’a dit « montre tes seins et fait voir ta vulve ! » J’ai écarté ma fente et introduit un doigt entre les lèvres qui apparemment restées ouvertes à souhait vu les yeux du gars. Puis, j’ai baissé les bretelles de la robe. Les bouts de mes seins étaient tendus. De les voir tous les deux se masturber m’excitait beaucoup, j’avais les tétons qui bandaient vraiment dur maintenant, et je sentais ma chatte mouillée, je crois que les deux gars s’en apercevaient, mon mari s’était arrêté de se masturber, je le connais, il allait tout lâcher. Il est venu à côté de moi, la bite au dessus de ma tête et prenait quelques photos. L’autre continuait à se toucher la bite tranquillement. Je m’étais allongée sur le dos, la tête sur un coussin. Le type matait ma chatte et mes seins comme un malade. Je me doigtais le vagin, ça me coulait entre les cuisses, entre les fesses. Je crois que c’est ça qui l’a incité… Car j’ai senti un doigt qui me rentrait dans le cul pendant que mon mari s’était mis à m’embrasser, m’explorant la bouche avec sa langue. Mon foutre avait lubrifié mon petit trou mis en évidence vu que j’avais replié mes jambes et que je soulevais parfois mes hanches en me cabrant de plaisir. Mais ce doigt dans le cul m’a fait comme une onde de choc dans le cerveau. Mon mari lui, n’a rien trouvé d’autre que de me mettre son gland à la place de sa langue dans ma bouche. Je l’ai sucé… Je n’étais pas loin de jouir avec un doigt enfoncé jusqu’à la garde dans l’anus et une bite qui allait tout lâcher dans ma bouche.
Puis, le gars a enlevé son doigt de mon cul, il m’a retiré les mains, et là j’ai senti la chaleur de sa queue qui me pénétrait doucement… Mon mari lui, s’est vite retiré de ma bouche et a soudain tout lâché sur mes seins, il s’est mis à les malaxer en étalant son foutre tout en faisant sortir les dernières goutes de son sperme avec l’autre main…
Le type me pénétrait de plus en plus rapidement et profond… Puis d’un seul coup il s’est retiré, sa bite pointait vers le plafond… Il m’a retournée, m’a obligée à me mettre à genou et s’est mis à me lécher l’anus. Quelle sensation incroyable !!! Jamais m’on mari me l’avait fait ça ! Il me pénétrait la chatte avec son pouce en même temps, un doigt me titillait le clito. Une onde de choc de plaisir encore plus forte montait en moi… J’ai du mal à l’expliquer… J’allais jouir… Il l’a compris. Il s’est mis bien en place et m’a fourré sa bite dans mon petit trou lubrifié par mon foutre et sa salive. D’ailleurs, mon petit trou ne l’était plus tant que ça… car il était dilaté. Il y a mis d’abord son gland avant d’y allait doucement de plus en plus profond… Il savait y faire. Mon mari continuait à me rouler les tétons avec ses doigts par en dessous, même s’il avait tout lâché, il essayait de participer, et j’avoue que les seins, la chatte, le cul en feu, du sperme étalé sur mes seins et mon ventre, tout cela en même temps faisait monter la jouissance comme la lave dans un volcan prêt à exploser. C’est ce qui s’est passé… J’ai crié… fort, d’un plaisir rarement ressenti. Oui. Un orgasme qui durait incroyablement, je continuais de crier de plaisir. Ce gars-là savait manier sa queue dans mon cul. J’avais l’impression d’avoir toute la colonne vertébrale qui vibrait. Je jouissais encore quand il a sorti sa bite et a tout lâché entre mes fesses. J’ai eu un dernier souffle de plaisir intense avant de m’écrouler.
Mon mari s’est allongé à côté de moi. Il s’est mis à m’embrasser goulument et à me toucher la chatte et mon cul mouillés, mes seins… Je me suis laissé faire, c’était bon, il était en train de s’exciter de nouveau, mais sa bite apparemment refusait de se remettre en action. Ouf ! L’autre regardait. Je me suis endormie un moment, pleine de rêves cochons… Car ce n’était pas fini.

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